-
Par Mac-Pyridine le 10 Novembre 2022 à 17:11
Une pratique très agréable et douce.
Extrait d'article
"le figging est la pratique consistant à insérer un morceau de racine de gingembre dans l'anus ou le vagin. Utilisé comme châtiment et source d'humiliation envers les criminelles à l'époque victorienne, le figging a été inventé en Grèce antique pour punir les esclaves femmes, et fut aussi employé sous l'Empire romain. Appliqué aux chevaux, on l'appelle le gingering. Il s'agit aujourd'hui d'une pratique principalement BDSM.
Méthode : le gingembre, épluché et souvent sculpté en forme de plug anal, provoque une intense sensation de brûlure et d'inconfort à la victime. Si la personne contracte les muscles de l'anus, la sensation devient encore plus intense."
(A noter que cela semble avoir existé avec des radis ou même du raifort, et que la sodomie par poisson était aussi envisagée pour les adultères. Si tout ça ressemble à une plaisanterie, c'est parce que des textes satiriques en font mention : il s'agit en tout cas de signifier une humiliation.)
Ce lien montre très pratiquement comment performer sur vos amants ce soir. Il faut quelques minutes, apparemment, pour que la sensation "monte". (Je ne prends aucune responsabilité dans vos histoires fruits & légumes.)
Ici, des dominateurs répondent à vos questions (le gingembre le plus frais est le plus douloureux, même si vous vous en seriez douté).
Si vous en voulez encore, une requête GoogleImages devrait vous achever pour la matinée.
Question subsidiaire : pourquoi faire ça à des chevaux ? Selon la page Wikipédia dédiée au gingering, il s'agirait de donner une attitude plus juvénile à des animaux âgés, puisque le cheval relève la queue et semble plus actif. Malgré l'interdiction de cette pratique, elle aurait toujours cours aujourd'hui.
aucun commentaire
-
Par Mac-Pyridine le 6 Novembre 2022 à 18:21
Rencontre entre une étoile et un trou noir du samedi soir au dimanche matin sous une pluie de champagne.
aucun commentaire
-
-
-
Par Mac-Pyridine le 5 Septembre 2022 à 16:20
Histoire de la Mac-Pyridine Company.
Homme en perdition touché par les tempêtes et encore dans le gros temps. Gros fumeur, buveur et déconneur attrapé par la (tralala) patrouille cancer et son fouet à neufs queues tumorales, bouche, poumon, trou du cul, à peine un espoir de quelques mois et à 60 balais ma bite (d'amarrage) cherche un support pour une exposition punitive, elle n'est plus qu'une petite baguette ridicule. Hétéro ma plus grande fierté est ma petite lunette (elle n'est pas longue vue) bien nettoyée et à la belle focale entretenue et développée par ma femme Anania Mac-Pyridine fondatrice de la Mac-Pyridine Company. Je vais vous raconter son histoire. Mais avant celle-ci, voici notre portrait.
Lorsqu’ils arrivèrent pour assassiner Anania et prendre possession de ses commerces, ses jours étaient ainsi ponctués ; non par des points, mais des suspensions, des espaces vides dans lesquels elle s’arrêtait elle-même, pour ne pas achever le cours de sa pensée, ou ne pas essayer de compléter une pensée qui n’avait désormais plus d’issue car conduisait toujours à cet endroit sans fin ou en impasse dans le feu du crématorium ou elle serait détruite.
Toutefois résolue et sans peur Anania tira et hurla « Vous n’aurez pas les poissonneries ».
Anania était née à Homer Alaska le 10/04/1922 et venait d’avoir cent ans.
Ses parents George et Anabelle Borniol étaient morts en 1939 de manière ubuesque au sortir d’une sauterie estivale peu banale et trop arrosée avec les notables de la ville parmis lesquels se trouvaient Robert et Adrien Choquet, les frères d’Anabelle.
Encore aujourd’hui personne ne connait vraiment la vérité sur le décès du couple Borniol.
En tenue légère, alors qu’elle titillait le poisson dans le petit fleuve côtier, Anania appris qu’elle était désormais la patronne de la plus belle flottille de pêche d’Alaska, débarassée de ses parents turbulents elle comprit que plus rien ne s’opposait à son mariage avec Philéas Mac Pyridine dont elle était amoureuse depuis sa seizième année. Il fallait agir contre AW-G et fonder la Mac Pyridine company.
Il n’y avait jamais eu de conflit entre Mac Pyridine et Borniol, il n’y en avait pas non plus à la mort des parents de la jeune fille, si ceux -ci s’opposait à leur union c’était à cause d’une différence de vue sur les méthodes employées par les uns et les autres, cependant leurs buts restaient identiques depuis la guerre de trente ans. Tous originaires de l’est de la France ils avaient combattu pour les Ducs de Lorraine, mais pas au-delà de la trahison de Charles IV en 1625. Les deux familles issues d’orphelins recueillis par les chanoinesses de Remiremont décidèrent alors d’immigrer au Canada et de continuer leur route vers la péninsule de Kenai ou les flétans faisaient la fortune des bons pécheurs. C’est dans la petite maison de Fritz Creek après une partie de chasse sous-marine que les deux amoureux se jurèrent une fidélité sans failles dans les combats et batailles à venir et formèrent leurs plans comme leurs ancêtres en d’autre lieu, en d’autre temps.
aucun commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique