• Mac Pyridine Company story-19

    Voici un épisode de la vie de Stéphanie Rincard aujourd'hui capitaine de L' ALEUTIAN BALLAD de la Mac Pyridinne Company et de trois autres petites salopes.
    Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
    par Charlene O.
    Episode 6: "Quatre petites salopes."
    Elles étaient quatre à avoir triché pendant leur examen de français. Un cas grave comme celui-ci relevait de la direction, je les avais donc convoquées dans mon bureau.
    Elles étaient toutes le dos au mur !
    Stéphanie était la plus délurée, une vraie "grande gueule", aussi m'adressai-je à elle : si je la faisais obéir, les autres suivraient docilement.
    "Nom - prénom - classe..?"
    " Rincard Stéphanie, 2ème C... Madame la directrice" répondit-elle en évitant mon regard. La formation des personnels à l’institut comporte trois années et nous avons quatre sections qui correspondent plus ou moins à des groupes de niveaux. Je fis quelques pas en arrière, pour mieux regarder ces quatre petites salopes que j'allais devoir sévèrement réprimander.
    Les deux profs - le titulaire de leur classe et le prof de français - m'observaient.
    Je respirais un bon coup puis passais à l'action :
    "Vous vous êtes comportées comme des gamines. Je vais donc vous traiter comme des gamines. Mademoiselle Rincard vous aurez dix coups de cravache. Baissez votre culotte et levez votre jupe ! "
    Les yeux de la jeune femme grandirent, sa bouche s'ouvrit sur une question muette et elle devint rouge comme une tomate, mais elle ne bougea pas.
    J'attendis encore quelques secondes, puis lui lançai :
    "J'attends."
    "Euh, non, Madame. Pas question. Je ne ferai pas ça, on n'est plus au Moyen Age. Vous ne pouvez pas exiger une chose pareille."
    Elle me regarda droit dans les yeux, et elle continua :
    "Si je porte plainte, j'en suis sûre. Vous serez suspendue comme directrice. Vous êtes flippée ou quoi ?"
    Vous ne porterez pas plainte et vous savez pourquoi !
    Et elle fit mine de sortir de mon bureau.

    Les deux profs se mirent devant la porte, empêchant la jeune femme de sortir.
    Il fallait régler cette affaire vite et bien, sinon je risquais de perdre mon emprise sur ces élèves. Je décidai alors de remplacer les coups de cravache par une punition bien plus exemplaire, qui en plus lui ferait perdre la face vis-à-vis de ses camarades de classe.
    Je lui pris les poignets et les força derrière son dos. Elle se débattit mais une paire de gifles la calma. Je l'entraînai dans la pièce adjacente, laissant la porte ouverte : je voulais que les trois autres petites idiotes entendent la correction que j'allais infliger à leur 'chef'.
    La pièce était ma salle de bains privée. Tant le sol que les murs étaient tapissés d'un fin carrelage blanc. Au milieu trônait une table médicale que j'avais pu acheter à bon prix lors d'une vente publique. En quelques mouvements j'avais attaché les mains de Stéphanie sur le dos et l'avais couchée sur la table, immobilisant ses hanches avec une large courroie de cuir prévue à cet effet.
    Son derrière était au bord de la table et ses jambes touchaient à peine le sol.
    Elle se mit à me supplier de la laisser aller, qu'elle ne dirait rien, que tout ce qu'elle venait de dire n'était que pour me faire peur, qu'elle serait dorénavant d'une conduite exemplaire...
    Je la laissais dire: les trois autres, dans la pièce à côté devaient être vertes de trouille.
    Une deuxième courroie passait sur ses seins qu'on devinait sous le cardigan gris. Je serais fortement, lui comprimant la poitrine. Elle se tut, pâle de peur, sentant que c'était sérieux.
    Puis je pris place devant elle, insinua mes mains en dessous de sa jupe plissée et d'un mouvement preste j’agrippai l'élastique de sa culotte. Quand je me mis à tirer lentement sur le sous-vêtement, elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler.
    Je fis glisser la culotte de coton blanc le long de ses jambes, puis la lui enlevai.
    J'étirais le slip entre mes mains et regardais ostensiblement le fond, puis lui présentai l'entrejambe où une ligne crémeuse légèrement jaunâtre dessinait le négatif de sa vulve. En baissant la voix pour que les autres ne puissent entendre, je lui dis :
    "Tu vois, tu n'es qu'une petite salope qui garnit ses fonds de culotte de crème et de pipi. Qu'en dirais-tu si je montrais ceci à tes copines, dis, à toutes ces petites idiotes qui ont l'air de t'admirer ? Je crois bien que tout le monde se moquerait de toi, tu ne penses pas ? Je sais très bien que dans leurs culotte on trouverait le même genre de peintures, mais que veux-tu, c'est ta culotte qui circulerait, n'est-ce pas ?"
    Je vis à son regard je j'avais misé juste - elle se voyait déjà la risée de toutes ses camarades...
    J'en profitais qu'elle était encore sous le choc pour lui saisir la jambe gauche, la mettre sur le support pour le genou et l'y attacher avec une courroie de cuir. Puis fermement j'agrippais l'autre jambe et la plaça dans son support, écartant largement les cuisses de la jeune fille.
    "Hé, que faites-vous ? Relâchez-moi immédiatement !" s'écria-t-elle en panique.
    "Je vais te traiter comme tu le mérites, comme une vraie petite salope !" lui répondis-je. D'un geste d'une lenteur calculée, je lui relevais la jupe, l'enroulant à fur et à mesure, exposant sa vulve où son sexe béant fit une tache rose.
    "Vous n'avez pas le droit! " dit-elle à voix basse, de peur que les autres l'entendent.
    "Ici j'ai tous les droits, ne l'oublie pas, petite conasse. Tous les droits... Mais je vais d'abord m'occuper de tes copines. Ne bouge pas, je reviens !" fis-je en souriant d'un air menaçant.
    Il y avait peu de risques qu'elle bouge, attachée comme elle l'était. Stéphanie ne dit plus rien lorsque je passai dans mon bureau - elle venait de se réaliser avec horreur que n'importe qui qui entrerait dans la pièce la verrait, écartelée comme une grenouille, le sexe béant, sur la table gynécologique qui faisait face à la porte.
    Les trois autres étaient immobiles comme des statues.
    Je les fis aligner devant trois chaises un peu spéciales qui se trouvaient au fond de la pièce: les pieds étaient fixés au sol et au milieu de leurs sièges on voyait dépasser une verge artificielle gonflable - ce que les Américains appelaient un ' inflatable buttplug'. Les verges n'étaient pas très grandes, environ la taille d'un doigt, car elles étaient destinées à l'anus.
    J'allais les immobiliser d'une façon douloureuse et humiliante, pendant que je m'occuperais de leur chef.
    "Mesdemoiselles, baissez vos culottes sur vos genoux. En avant ! Je ne le répéterai pas. Sur les genoux !"
    Elle se regardèrent puis lentement Pauline, la plus peureuse des trois, alla chercher sa culotte blanche sous sa jupe plissée grise et la descendit jusqu'à ce qu'elle soit à la hauteur de ses genoux. A regret les deux autres l'imitèrent, anxieuses de ce qui allait suivre.
    "Relevez vos jupes, jusqu'à la taille !"
    Après une hésitation ce fut à nouveau Pauline qui obéit la première, dévoilant la touffe claire de son sexe. Quinze secondes plus tard nous avions devant nous trois étudiantes qui nous montraient leur pubis touffus, c'était du plus bel effet!
    "Maintenant mesdemoiselles, vous allez vous asseoir, mais, comme vous l'avez sûrement déjà deviné, en visant bien... Les verges sont destinées à votre orifice anal..."
    Elles se retournèrent pour regarder les verges de caoutchouc qui se trouvaient au beau milieu de leurs chaises. Visiblement, elles hésitaient...
    "Nous pouvons toujours vous donner un coup de main, si vous préférez..." Le ton devait être menaçant à souhait parce qu'elles obéirent et baissèrent leur postérieur en direction du phallus en érection.
    "Allons, mesdemoiselles, pas de petites manières, je vous prie ! Vous aviez le culot de tricher à l'examen, alors portez-en les conséquences ! Et puis, ces verges ne sont vraiment pas très grandes, et en plus, elles ont été lubrifiées..."
    Je m'avançai vers Pauline, lui saisit les hanches, puis la forçai à s'abaisser.
    Je passai une main derrière elle et la guida jusqu'à ce que son petit trou se trouve juste au-dessus de la verge. En appuyant sur ses hanches je la fis asseoir.
    Avec quelques "ouie !" et quelques "aie !" elles finirent toutes les trois par s'empaler sur leurs tubes de caoutchouc.
    Alors je passai derrière elles et gonfla les verges avec les poires de caoutchouc prévues à cet effet.
    Elles n'avaient pas encore connu cela, à voir leur réaction s. Je pompais les phallus au maximum, leur causant un inconfort certain : tant leurs rectums que leur anus étaient distendus et elles devaient se tenir bien droites pour ne pas augmenter la douleur. Elles gémirent. La partie des verges qui se trouvait dans leur colon avait doublé de volume, rendant impossible de les retirer,
    sous peine de se déchirer le muscle du sphincter.
    "Voilà de quoi vous tenir en place sans menottes !" Les deux profs avaient l'air d'apprécier ; Madame Leduc avait mis une main dans son pantalon et s'agitait discrètement - j'ai su par après qu'il y avait une ouverture dans sa poche, lui permettant d'atteindre son sexe - tandis que sa collègue ne valait pas mieux : ses yeux lui sortaient de la tête et elle se frottait les jambes
    l'une contre l'autre en regardant les jeunes sottes empalées. Je dois avouer que moi aussi je sentais une chaleur moite entre mes cuisses, mais comme directrice je pouvais difficilement me permettre de me laisser aller. Je me promis de me rattraper plus tard.
    Pour finir je mis en marche les vibrateurs de ces phallus. Nouveaux gémissements. Il faut dire qu'un phallus vibrant, gonflé au maximum, dans l'anus, cela vous donne l'impression de vous trouver à la toilette pour une vidange des intestins. Quand alors on se trouve en public comme c'était le cas ici, c'est plutôt désagréable...
    "Maintenant je vais m'occuper de votre chef. Estimez-vous heureuse de votre traitement mesdemoiselles, votre amie va souffrir bien plus que vous !"
    Sur ces bonnes paroles, proférées bien haut pour que Stéphanie m'entende, je les laissai à leurs tourments ...
    Stéphanie m'attendait sagement, les yeux fermés, les cuisses largement écartées.
    "A toi maintenant !" Je pris un tabouret et m'installai entre ses jambes. Elle rougit violemment.
    Les lèvres de son sexe était légèrement ouvertes. Avec mes deux pouces je les ouvris largement, exposant son petit bouton de chair si sensible. Puis je pris l'appareil de massage et le branchai, ce qui fit un léger ronronnement.
    Stéphanie sursauta et ouvrit de grands yeux, mais ne dit rien. L'appareil ressemblait à une mini-foreuse électrique où la mèche aurait été remplacée par une espèce de bouton en caoutchouc rouge-orange, de la taille d'une noix. On l'employait pour soulager les courbatures, les douleurs lombaires etc. Mais j'avais trouvé un autre emploi, où cet appareil s'avérait tout aussi efficace...
    Soigneusement je m'installai droit devant la vulve béante et commença mon travail. Je fis circuler la tête vibrante le long de ses grandes lèvres, les effleurant à peine, de haut en bas, puis de bas en haut et ainsi de suite.
    La crispation de ses muscles disparut très vite - je dois dire que cet appareil est une petite merveille, je m'en sers régulièrement moi-même - et sa respiration s'accéléra. Elle referma les yeux. Ses lèvres étaient pincées.
    Doucement je continuais mon petit jeu, légère comme un papillon. Les lèvres de son sexe s'écartèrent comme une fleur qui s'ouvre et je pouvais voir le rose nacré de son vagin.
    Quand je me mis à donner de légers petit coups rythmés avec le bout vibrant, Stéphanie se mit à haleter.
    "Arrêtez ! Vous êtes une... une... euh..." Elle ne trouvait plus ses mots.
    Elle ne serait pas long à atteindre son premier orgasme. Je l'enviais un peu...
    Elle se mit à murmurer d'une voix mourante :
    "Oh que c'est bon... bordel, c'est génial vot' truc... oh làlà...Super..."
    Son bassin ondula frénétiquement contre la tête vibrante, mais au dernier moment je l'empêchais de jouir, de quoi faire augmenter la tension. Puis quand je sentis qu'elle avait atteint le point de non-retour, je dirigeai l'appareil vers son anus. Cela devait lui déplaire d'être privée d'orgasme car elle gémit de dépit :
    "Siouplaît, madame... ne me faites pas souffrir... je... j'y suis presque... s'il vous plaît... ne vous arrêtez pas !"
    La tête de l'appareil disparaissait maintenant entièrement dans son anus, preuve qu'elle était parfaitement relaxée. Les vibrations de l'appareil irradiaient dans son ventre, la maintenant dans un état de pré-orgasme.
    Après quelques instants qui devaient lui sembler une éternité, je sortais l'embout de son petit trou et l'appliqua sur sa fente, là où le clitoris pointait d'entre les lèvres. Ce fut comme si dix mille volts passaient dans son sexe. Son corps se tendit en un arc, retenu par les courroies.
    Heureusement qu'elles étaient solides !
    Stéphanie se mit à jouir, la bouche grande ouverte, avide d'air.
    C'est alors que sa punition commença.
    "Suffit... ça suffit... arrêtez Madame... faut pas continuer... j’ai mal, c'est trop sensible..."
    Mais je continuais quand même... Et bientôt elle se mit à hurler. La tête vibrante cherchait le clitoris ultrasensible, gorgé de sang. La douleur devait être horrible, l'empêchant de respirer. Son corps gigotait pour échapper aux vibrations lancinantes, mais les courroies l'empêchèrent de fuir. De la bave coulait de sa bouche et je vis ses yeux rouler dans leurs orbites. Je me rendis compte que ma culotte devait être trempée. Je dus faire un effort surhumain pour continuer mon travail et ne pas mettre l'engin entre mes jambes, ce qui m'aurait procuré un splendide orgasme dans la minute.
    Très vite Stéphanie atteint son deuxième orgasme, les yeux hors de la tête, tremblant de tous ses membres. Elle ne savait plus parler, ne proférant que des sons inarticulés. Les trois autres élèves, assises sur leurs verges gonflables dans mon bureau, devaient être grises de peur...
    Mais je n'arrêtais toujours pas de la stimuler : de légers petits attouchements sur son clitoris la rendaient à moitié folle. Des sécrétions s'écoulaient de son vagin et laissèrent une trace de bave le long du sillon entre ses fesses.
    Le sphincter de son anus s'ouvrit et se referma spasmodiquement, le muscle circulaire sortant obscènement de son corps comme une bouche qui veut embrasser, puis se rétracta à nouveau.
    Je vis les muscles de ses jambes tendus comme des cordes à violon et je sus que bientôt le troisième orgasme se déclencherait. Ce serait le dernier, autrement je pourrais la tuer.
    Effectivement, elle se convulsa, puis resta immobile pendant trois ou quatre secondes. J'appliquais maintenant fermement la tête vibrante sur son clitoris.
    Un jet d'urine, à l'horizontale, signala le début de l'orgasme. J'avais prévu cela et me trouvais hors de la trajectoire. Puis, comme des spasmes rythmés, d'autres jets suivirent. J'attendis que sa vessie soit vide, puis éloigna enfin l'embout vibrant de son sexe et débrancha l'appareil.
    Durant plusieurs secondes encore, son corps continua à être secoué de spasmes. Ses intestins devaient être vides, sinon leur contenu aurait aussi abouti sur les carrelages de ma salle de bains.
    Lentement elle reprit ses esprits, les traits tirés et les yeux cernés de mauve comme après une nuit de fête, les yeux à moitié fermés.
    "Allez, ta punition est terminée. Sauf que je vais te mettre une couche-culotte, car pendant au moins quarante-huit heures tu seras incontinente suite aux stimulations que ton sexe a subi : pour se défendre, ton corps à "déconnecté" les terminaisons nerveuses de ton bas-ventre, tu ne te rendras donc pas compte que ta vessie ou ton rectum sont pleins..."
    Elle me regarda, l'horreur dans les yeux. Je terminais l'aspect pédagogique :
    "La prochaine fois que tu voudras tricher, et que tu voudras y entraîner tes copines, tu penseras au traitement qui t'attends !"
    Elle cria de douleur quand je lui essuyais la vulve, tant les muqueuses étaient encore sensibles.
    Ensuite je lui mis une couche-culotte pour adultes et la fixa autour de ses hanches avec les bandes autocollantes. Pour plus de sûreté une culotte de plastique vint recouvrir la couche-culotte.
    Puis je défis ses liens et l'aida à descendre de la table. Elle manqua de tomber, encore complètement sonnée. Elle s'appuya à moi et marcha lentement comme un vieillard, les jambes largement ouvertes.
    C'est comme cela que ses trois amies la virent arriver dans le bureau.
    Elles avaient effectivement une mine grise. Les gémissements et les plaintes de leur chef les avait profondément perturbées.
    Je débloqua les valves des verges gonflables, leur permettant de se lever.
    Toutes les trois laissèrent échapper des vents, l'anus distendu, la sensation de vibration toujours présente. Leurs sphincters auraient besoin de plusieurs heures pour se refermer totalement, aussi leur donnai-je une mini-couche imperméable pour incontinents qu'elles collèrent à l'intérieur de leurs culottes. Elles aussi marchèrent les jambes écartées...
    Puis je les congédiées toutes les quatre, sûre qu'elles ne recommenceraient pas de sitôt...

    - fin de l'épisode -
    Copyright: © Charlène O. (septembre 2000)

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