• Mac Pyridine Company story-59

    Punie!-(Première partie)

    Je suis devant l'énorme porte du bureau de la Directrice de l’institut Ospif, Il y seulement trois ans j’étais encore l’assistante de Denise Ospif. Aujourd’hui, depuis l’ascension de Madame à la tête de la compagnie Mac Pyridine, c’est Charlotte Guélains qui en est la directrice, mais je n’ai pas rendez-vous avec l’ancienne professeur de mathématiques.

    Je me prénomme Valérie mon nom de famille est Perrier, je suis le capitaine du CHARISMA le plus beau bateau de la flotte Mac pyridine à Flekkefjord.

    J’ai été chassée de l’institut avec ma compagne, également assistante de madame Ospif, pour avoir enfreint les règles de bienséance avec les élèves punies par la directrice. A ce renvoi devait s’ajouter une punition et cela fait trois ans que nous attendons dans une angoisse permanente, Laetitia ne supporte plus cette pression alors que nous devons prendre la mer presque tous les jours. Il y a un mois j’ai donc pris la plume pour écrire à Denise Ospif et la supplier d’en finir avec ce suspens tout en lui demandant de doubler ma punition et d’épargner ma compagne plus fragile.

    Denise a répondu qu’elle envoyait Mado Lavergne sur le PULSION pour me mener  à l’institut Ospif de Port Louis devant la porte de son ancien bureau. Madame disait dans sa réponse que j’étais toujours une sotte, elle avait fait un trait sur cette affaire, il aurait fallu ne plus en parler, elle avait fait une exception, mais puisque je réclamais je serais deux fois punie conformément à ma demande, je devais avoir une compagne de calvaire qui me ferait quitter mon amour actuel suite à ma future transformation. Que voulait-elle dire ?

    Je suis devant la porte le cœur battant.

    Si je n’avais pas écrit j’aurai pu y échapper, mais il faut croire que tôt ou tard, nous devons toutes y passer.
    Je frappe, un fol espoir qu'il n'y aura pas de réponse me traverse.
    Hélas, juste au moment au moment où je voulais m'encourir j'entends la voix de la Directrice : "Entrez !".
    La porte est lourde mais tourne silencieusement sur ses gonds. Le bureau est vaste, tout en boiseries sombres.
    Puis je la vois. La Directrice est assise derrière un énorme bureau-ministre.
    Une lampe à halogène design éclaire le dossier qu'elle est en train de lire.
    J'ai le temps de regarder autour de moi avant qu'elle daigne se rendre compte de ma présence. Je connais cette pièce par cœur, J'y suis souvent venue comme assistante. Toutes les élèves de l'Institut Ospif connaissent le bureau de la Directrice : toutes celles qui sont passées par ici pour être punie, l'ont décrit dans le détail. Cette pièce-ci, passe encore. C'est ici qu'on entend la sentence. Mais la pièce à côté, ça c'est l'enfer. "Ma salle de bains" comme l'appelle la Directrice.

    Elle enfonce quelques touches sur son interphone et fait venir deux assistantes, "... pour préparer une pénitente...".
    J'en ai froid dans le dos : la 'pénitente', c'est moi...
     
    La préparation dont elle parle est une mise en condition, afin de multiplier l'effet de la punition. Sous la conduite des assistantes la fille doit d'habitude se dévêtir ; ensuite elle est attachée en position.
    Puis commence l'attente humiliante ; quand enfin Madame la Directrice arrive, la fille n'en mène pas large.

    On m'a dit que je serai cravachée. Je suis donc à peu près sûre que les assistantes vont me mettre à nu. Mon esprit glisse sur ces pensées qui me donnent la chair de poule. J'ai toujours détesté me dévêtir en présence d'autres personnes.
    Lorsque j’étais assistante avec Laetitia nous nous amusions avec les punies quand elle était attachée, nue comme un ver, contre le grand "X". C'était presque aussi horrible que la cravache elle même pour les jeunes femmes. 
    J'ai le temps d'admirer le coin-salon où une installation stéréo dernier cri contraste avec le canapé désuet recouvert de velours rouge. Puis les assistantes sont arrivées...Mado Lavergne et…Oh non ! Natalie Borniol elle-même.
     
    En reconnaissant Natalie je ne peux m’empêcher d’uriner, le pire va arriver. Toutes deux m'ont l'air tout sauf joyeuses. Nous savons toutes qu'elles essayent de filer en douce le vendredi après-midi, pour commencer leur week-end tôt, mais cette dernière corvée va les retarder d'au moins une heure. Je crains que la Directrice les ait spécialement choisies ce vendredi pour bien leur montrer qui décide quand le travail est fini.

    Malheureusement cela s'annonce mal pour moi : rien qu'à la façon brutale où elles me prennent par les bras pour aller dans la 'salle de bains', je sens qu'elles veulent se venger sur moi, faute de pouvoir protester auprès de leur employeur.
    J'étais morte de peur en frappant à la porte, maintenant je suis paniquée.
     
    La 'salle de bains' est énorme et résonne drôlement, à cause du carrelage qui monte même sur les murs. Dans de grandes armoires vitrées des ustensiles médicaux brillent comme dans une vitrine de Noël. Dans le coin opposé se trouve le lit cage dans lequel Laetitia et moi abusions de Amanda Gadouchen. Au mur pend une veste en toile blanche, bardée de lanières : la camisole de force.

    Près de la porte d'entrée il y a un petit bureau et deux chaises ; au centre de la pièce trône une table d'examen hyper moderne, équipé de divers appareils électroniques, et d'un énorme scialytique.
    Je vois tout cela en quelques secondes, le temps que les assistantes mettent leurs tabliers blancs.
    Puis elles viennent vers moi.
     
    Une boule se noue dans mon estomac, je respire difficilement. "C'est ici que les Athéniens atteignirent..." me passe dans la tête. Nous y voilà. J'essaie de sourire pour les amadouer, mais à force de serrer la mâchoire pour ne pas montrer ma trouille, je sens mes dents se découvrir en un affreux rictus.

    C'est le commandant Mado Lavergne qui prend la direction des opérations :
     "Alors Capitaine Perrier, on se débrouille pour écoper d'une punition le vendredi après-midi ?
    T'aurais pas pu faire ça un autre jour, dis ??
    Je baisse les yeux. Mieux vaut ne pas répondre, car dans l'état où elles se trouvent, n'importe quelle réponse serait mauvaise.
     
    "Tu t'appelles comment ?" C’est Natalie Borniol qui vient de parler d’une voix ferme, elle sait parfaitement qui je suis alors à qui s’adresse la question ?
     "Cassandre, madame"
     "Ah !
    Cassandre Lemercier ! C’est toi qui a été nommée Capitaine à Flekkefjord sur le NORMAND FERKING ? Tu fais partie de la punition du Capitaine Perrier "

    Je ne suis pas surprise par la réaction suscitée par ce prénom peu commun chez Mado qui trouve nécessaire de déclamer le début du poème de Ronsard,
    'Ode à Cassandre’ :
     "Mignonne allons voir si la rose, qui ce matin avait éclose sa robe de pourpre au soleil..."
     Méchamment elle ajoute à voix basse "Tu vas voir comme on va faire éclore ta rose, ma mignonne..." 

    "Les mains sur la tête. On va te fouiller."
     Je savais que cette fouille n'avait comme but que de briser la résistance de Cassandre, en l'humiliant d'une façon ignoble. Je ne sais pas si la Directrice approuverait la pratique, je crois qu'elle apprécie surtout que la pénitente 'préparée' soit calme et qu'elle accepte - ou du moins semble accepter - sa punition avec résignation.
     
    Tout cela je le savais en regardant Cassandre, je fus surprise au moment où Madame Borniol se colla à mon dos avec fermeté.
     Je me sens mal à l'aise. Cette femme a des formes plutôt amples et j'ai l'impression qu'on me pousse des coussinets chauds dans les dos et contre les fesses. Sans me voir dans un miroir je sais que je dois être pâle comme un linge.
    Mado Lavergne s'approche de moi, je sens son haleine pas très fraîche. Elle me regarde droit dans les yeux.
     
    "Regarde-moi, mignonne. Ne ferme pas les yeux... Je veux y voir ce que tu ressens... Je veux être sûre que ma 'préparation' porte ses fruits... Et je veux aussi garder en tête le souvenir d'une petite salope officier punie qui a gâché le début de mon week-end..."
     J'avale ma salive avec peine, j'ai l'impression que ma gorge est fermée.
    J'essaye de me détendre, pour subir ce qui va suivre sans me donner en spectacle. Je ne peux m'empêcher d'ouvrir la bouche en grand quand je sens ses mains sur mes hanches. A travers le tissu de ma jupe, elle me pince la peau.
    Natalie mets ses bras autour de moi, pour m'immobiliser ; elle les croise sur mon ventre et serre fort, me coupant le souffle. En même temps elle avance une jambe, poussant mon ventre obscènement en avant vers Mado Lavergne.

     
    Visiblement dans son élément, Natalie Borniol laisse glisser ses mains sur mes hanches, comme un amoureux le ferait. C'est très gênant, beaucoup plus que je ne l'aurais cru. J'avais pensé qu'elle me ferait mal, et jusqu'à certain point on peut combattre la douleur, mais ce traitement-ci est pervers.
     Ses mains glissent sur le devant de mes cuisses, puis à nouveau vers mes fesses. Là, elles agrippent les hanches de Mado et la tire très fort vers moi, me transformant en une sorte de sandwich. On est à peu près de la même taille et je sens qu'elle pousse avec son os pubien contre le mien.
    Bon, il m'est arrivé de danser avec une copine, danser disons 'assez intimement' même, et nous avons alors appuyé nos ventres l'un contre l'autre, mais ici, dans cette 'salle de bains' fortement éclairée, cet attouchement sans chaleur est horrible. Je sens mon sexe se contracter involontairement, comme pour échapper à ce contact.
     

    Des larmes me viennent et à travers celle-ci j’entrevois Cassandre Lemercier en couche et sanglée sur une table au fond de la pièce. Pourquoi est-elle ici avec moi ? Pourquoi est-elle une partie de ma punition et pourquoi est-elle punie ?
     dans le cul


    Des mains repartent sur l'extérieur de mes cuisses, puis descendent. Son ventre perd le contact pendant quelques instants, le temps que ses mains trouvent l'ourlet de ma jupe et glissent en dessous. Aussitôt son ventre se recolle au mien.
     Les bras au-dessus de la tête je sens ma transpiration, j'ai l'impression que la peur et la honte font dégouliner mes aisselles, ajoutant à mon trouble.
     Ses mains agiles frôlent l'intérieur de mes cuisses, me donnant des frissons
    - c'est un endroit qui est très sensible chez moi.

    Lentement, pour me faire souffrir à petit feu, ses mains remontent entre mes jambes. Soudain je sens avec désarroi que j'ai une forte envie de faire pipi !
    Quelle horreur ! je suppose que c'est la trouille qui remplit ma vessie. Pourvu que cette séance ne dure pas trop longtemps...
     Je mors mes lèvres pour ne pas crier quand une main se pose à plat sur mon sexe. Elle me regarde avec une vilaine grimace de triomphe.
     "Tu aimes ça capitaine, hein, dis ? Allez, avoue que tu aimes ?"
     
    Non, je n'aime absolument pas son petit jeu. Je préférerais être cent mille lieux sous la terre. La chaleur de sa main traverse le coton pourtant épais de ma culotte de gym.
    Sa collègue ne veut pas être en reste : une main remonte vers ma poitrine, l'autre descend sur mon ventre et glisse dans ma jupe. Pourvu qu'elle ne se mette pas à pousser sur ma vessie ! Heureusement elle se contente de faire comme si elle me 'fouillait' pour s'assurer que je n'ai pas d'objets cachés sur le corps.
     
    Sournoisement Mado Lavergne masse mon sexe à travers ma culotte, sa main bien à plat, un doigt recourbé suivant la vallée de ma fente.
    "C'est qui qui a une culotte sale ? Dis ?"
    D'une pâleur extrême je me sens virer au rouge cardinal. Ah la vache.
    N'importe qui mouillerait après un traitement pareil. Pas difficile d'humilier quelqu'un de cette façon.


    « Garde les yeux ouverts Valérie, Cassandre regarde. Tu sais qu’elle va être ta sœur de transformation ? »
    Natalie rit poliment de la blague de sa collègue.
     

    "On dirait que cela gêne   le Capitaine Perrier qu'on parle de sa culotte, as-tu entendu, Natalie ?"
     "Oui, j'ai entendu... Elle a peut-être quelque chose à nous cacher ?"
     "Nous allons le savoir bientôt. Enlève tes chaussures et monte sur la chaise !"

    - Mais où est Madame Ospif ?

    -Elle est repartie à Homer, c’est moi qui suis chargée des punitions à la Mac Pyridine compagnie vous n’êtes plus des élèves de l’institut Ospif, nous allons passer deux mois ensembles toi, moi, Cassandre et la nouvelle assistante médicale à Flekkefjord.

    -Je craignais le pire, il était arrivé, les punitions de Natalie Borniol étaient d’ordre médical.

      

    A regret elle retire sa main de mon sexe et m'indique une chaise près du mur.
    Les mains toujours sur la tête, je grimpe dessus. Son visage est à hauteur de mon ventre.
     
    "Déshabille-toi. D'abord la blouse."
     Un à un je défais les boutons. J'essaie de gagner du temps. J’espère toujours que tôt ou tard la Directrice viendra et alors je serai débarrassée de ces deux peaux de vaches. "Avance, on n'a pas que ça à faire !"
     J'enlève ma blouse, puis ma jupe, ne gardant que mon soutien-gorge blanc et ma culotte de gymnastique bleue.
     
    "Le soutien-gorge."
     "T'étais pas au premier rang, hein, quand on a distribué les doudounes ?"
    Fièrement elle tire ses épaules en arrière, faisant saillir une poitrine trop importante pour son torse. Il est vrai que j'ai la poitrine plutôt modeste.
     Le regard gourmand fixé sur mon ventre, elle dit enfin ce que je craignais depuis que je suis montée sur cette chaise :
     "La culotte, maintenant..."
     
    Rapidement, le regard droit devant moi, j'enlève le sous-vêtement.
    "Alors, montre-nous si elle est propre !"
     J'ai l'impression de m'enfoncer vers le centre de la terre. J'ai un petit espoir que j'ai mal entendu, qu'elle ne va pas insister si je fais comme si je n'avais pas compris.
     "Alors, ça vient ? Tu vas nous montrer ta culotte. Maintenant, mignonne Valérie."
     Je tends la culotte devant moi sans la regarder.

    A ce moment au fond de la pièce Cassandre pousse un cri de désespoir.

    « Elles vont me punir plus fort encore pourtant je n’ai rien fait de mal »
     
    Mado Lavergne respire bruyamment, je vois qu'elle est en colère, elle s’approche de Cassandre lui envoie son poing dans le ventre juste au-dessus de l’os pubien.

    « Tu peux te lâcher maintenant que la glycérine a fait son effet et que tu n’as pas réussi à te retenir, un peu plus de merde ou un peu moins c’est la même odeur, si tu es punie aujourd’hui c’est justement parce que tu n’as jamais été punie, on ne peut devenir capitaine sans savoir ce que c’est d’être punie, comment fera tu avec ton équipage pour maintenir l’ordre ? »

    Je sais maintenant pourquoi Cassandre est ici et j’en tombe presque de ma chaise Natalie Borniol, cette salope, me retient en me tordant le bras et en me pinçant le triceps.
    Ça fait mal, très mal. Des larmes brouillent ma vue. A grand peine j'arrive à respirer. Heureusement que je n'ai pas fait pipi, il s'en est fallu de peu.

     "Tu vois qu'on peut faire très mal sans laisser de marques... Maintenant, fais ce qu'on t'a dit."
     
    Respirant toujours lourdement, je déplie la culotte pour la monter. Bien entendu, il y a une marque blanchâtre qui ressort clairement sur le coton bleu foncé. La marque est plus grande que je ne l'avais craint, à cause de ses attouchements, bien entendu. Elle avait bien préparé son coup, elle savait d'avance ce qui allait se passer.
     
    "Tu vois quelle sale souillonne tu fais, exactement comme ta future copine avec sa couche pleine de merde ? " Mado Lavergne semble de plus en plus se prendre à son jeu. Frapper d'abord Cassandre, puis de m'humilier en suite a fait tomber sa colère. Les assistantes s'amusent comme des petites folles, c'est certain.
     "Mets-la sur ta tête. Non ! L'intérieur contre ton nez, que tu te rendes compte qu'elle sale fille tu fais !"
     Comme un automate j'obéis. Comme prévu, ma culotte dégage une odeur assez corsée. J'essaie de ne plus penser, plus sentir, plus entendre. Mais mon calvaire ne fait que commencer. Je ne me suis encore jamais sentie si nue que debout sur cette chaise. Instinctivement je serre les cuisses, pour surtout ne lui donner aucun prétexte pour m'humilier encore plus.
     Mado va chercher une deuxième chaise qu'elle met à côté de l'autre.
     
    "Ton pied gauche sur cette chaise !"
     J'obéis à contrecœur. Je dois ouvrir fortement les jambes. Je ne peux m'empêcher de sangloter, je ne me suis jamais sentie si misérable.
     Je vois les deux femmes chipoter avec des élastiques et de fins bâtonnets, comme on emploie pour faire des brochettes. Elles se tournent vers moi.
     "Penche-toi, qu'on puisse te garnir les seins."
     Je me penche, manquant perdre mon équilibre à cause de mes jambes écartées sur les deux chaises.
     Les pointes de mes seins sommeillent, et cela n'a pas l'air de plaire à mes bourreaux Mado pince sournoisement une pointe, me faisant gémir ; Natalie n'hésite pas et prends l'autre sein dans sa bouche. Mes jambes se mettent à trembler. C'est la première fois qu'on me suce les seins et cette sensation est affreusement troublante - je sens à nouveau que j'ai très envie de faire pipi. Je ne peux m'empêcher de haleter. C'est humiliant, et j'ai honte, mais d'un autre côté mon corps réagit - je sens la pointe se gonfler, gonfler... - et cela ajoute à mon trouble. Comme avant, quand Mado avait sa main entre mes jambes, ces femmes sont en train de m'exciter par pur sadisme. Je sens mon sexe qui réagit - bon Dieu que je dois faire pipi ! J'essaie de contracter mes cuisses pour mieux me contrôler, mais avec les jambes écartées, ce n'est pas du tout évident. 
    Les pointes de mes seins semblent suffisamment gonflées pour ses dames. Elles s'approchent, chacun avec une pince-maison’ : elles ont réuni deux bâtonnets avec deux élastiques. Natalie observe comment MADO écarte les deux bâtonnets
    et y glisse le doigt, les tenant écartés. Puis elle s'approche de mon sein. Je gémis, comme si je n’avais mal rien que de voir quel instrument de torture elle va employer. Habilement elle tire la pointe érigée dans la pince, puis retire son doigt. La pince se referme sur la pointe. "Ouch !" C'est comme quand on pince les seins avec ses doigts assez forts, avec la différence que la douleur ne part pas, mais continue. La pince tient toute seule, parallèle à mon torse.
    Je me contorsionne pour rejeter la pince, mais je n'y arrive pas. Natalie fait la même chose de l'autre côté. Je souffle fort, pour ne pas gémir. Ce n'est pas à hurler de mal, mais douloureux quand même; les bouts de me seins ne sont plus
    irrigués et rapidement ils deviennent mauves.
     
    Je frémis quand j'entends Mado enfiler des gants de latex - ces gants me rappellent toujours des séances plutôt désagréables chez le médecin.
    Son horrible sourire canaille aux coins de la bouche elle s'approche de moi.
     "La Directrice a dit 'une fouille complète'... Natalie, tu t'occupes du verso, moi je 'ferai' le recto..."
     La sensation du caoutchouc froid sur mon sexe est une des sensations les plus désagréables que je connaisse. Mado Lavergne dû le remarquer, car elle attend avant de commencer, jusqu'à ce qu'elle voie à nouveau briller des larmes à mes yeux. Alors elle se plante devant moi, le visage tout près de mon minou.
     

    Je m'arrête de respirer. Involontairement je serre les fesses, geste dérisoire. Elle ouvre ma fente de deux doigts, puis de l'autre main, cherche le clitoris. Je manque de hurler. C'est douloureux et surtout ignoble, cet attouchement. Clinique, rien de sexy. Elle n'y va pas de main morte : brutalement elle frotte l'organe ultrasensible, déclenchant des crampes douloureuses dans mon bas-ventre. Je halète comme un coureur de fond. Des éclairs parcourent mon ventre. Je bouge mon bassin fébrilement pour essayer d'échapper à ses doigts, mais elle ne lâche pas prise. Je ne peux m'empêcher de crier doucement. Cela semble la stimuler car elle se met à me frotter le petit bouton frénétiquement, comme si elle voulait me faire jouir - je me demande si après ce viol brutal je ne pourrai encore jamais jouir ? Sans arrêter son manège, elle enfonce deux ou trois doigts de son autre main dans mon vagin. Avec un 'han' triomphateur ils disparaissent dans mon intimité. C'en est trop, je perds les pédales, tout tourne autour de moi. Dans un brouillard j'entends le ricanement de Mado ' La capitaine est trempée comme une fontaine, la salope !' Puis je sens une chaleur se dégager entre mes jambes. J'entends encore Natalie s'exclamer 'Fais gaffe, elle te pisse dessus !' puis je tombe en avant, sur Mado Lavergne.

    Tournant la tête honteuse je rencontre le regard apeuré et paniqué de Cassandre qui ne connait rien de toutes ses pratiques n’ayant jamais fréquentée ni le bureau ni la salle de bain de Denise Ospif.

     Mado a lâché prise, je la renverse et tombe sur elle, de tout mon long l’horrible massage brutal de mon clitoris s'est arrêté, mais la chaleur entre mes jambes persiste. Je me rends compte que je vide ma vessie : la stimulation brutale a eu raison de mes sphincters, je fais pipi sous moi. Je sens Mado gigoter pour se dégager, mais je suis trop lourde pour elle.
     
    "Elle me mouille, Natalie, elle me pisse dessus, Natalie fais quelque chose !"


     Mais Natalie non plus n'arrive pas à me faire bouger. Assommée par le traitement que ces femmes m'ont fait subir, mon corps savoure l'absence de ces mains fouineuses entre mes jambes. Même si je voulais je ne pourrais pas bouger, je suis anéantie, incapable de réagir, la douleur du viol résonne encore dans mes entrailles.
     
    Mado s'en rend compte et tire profit de la situation. Elle ouvre ses jambes entre les miennes et croche ses pieds derrière les miens. De cette façon elle peut me tenir les jambes largement ouvertes et m'empêcher de les fermer. Elle glisse un bras sous mon épaule droite et se met à me serrer dans un Kata Gatame une prise de judo, m'immobilisant tout à fait.
     "Natalie, je la tiens. Je suis trempée, c'est comme si moi j'avais fait pipi, elle va me le payer cher. Natalie je veux que tu lui fouilles le rectum, comme moi je l'aurais fait qu'elle ne puisse plus s'asseoir pendant une semaine. Natalie, tu m'entends ?"
     
    "Tiens la bien. Je m'en occupe, c’est ce que je dois faire pendant deux mois à ces deux dames, je devais commencer que lundi, mais celle-ci je vais lui gâter son week-end. Elle a un beau petit trou rond..."
     Mado a arrêté de se trémousser sous moi, je respire difficilement, tant elle me serre la poitrine, mes jambes sont comme dans des étaux. Soudain je sens qu'on m'écarte les fesses. Je me débats, mais Mado Lavergne est bien plus forte que moi et je dois laisser faire la chargée des punitions médicales. J'essaie de me relaxer au maximum pour ne pas trop souffrir, mais la peur me bloque les muscles, les
    contractant. Elle me glisse un doigt dans le derrière. Ce n'est pas douloureux, juste désagréable, humiliant. Je m'efforce de respirer à fond et je bascule mon bassin afin d'offrir le moins de résistance possible, et de faire le plus de place possible.
     

    Un deuxième doigt rejoint le premier. Elle a dû les enduire d'une crème quelconque car les doigts glissent sans heurts. Je gémis de honte quand je sens son souffle sur mes fesses, j'ai le sexe béant, horriblement sensible à cause du traitement qu'il a subi, au point où je sens même la respiration de Natalie sur mes chairs intimes.

    « La prochaine fois lavement surabondant et laxatif la veille, je sens de la matière, je vais avoir de la crotte plein les doigts et je n’ai même pas enfilé de gants »

    Je sais que Natalie veut me rendre honteuse, mais je ne pense qu’à me concentrer pour relâcher mes sphincters et limiter les dégâts,

    Après le troisième doigt je me sens remplie au maximum, mon corps est recouvert de transpiration. Il y a une sensation de brûlure quand ses doigts forcent le passage chaque fois qu'elle les enfonce dans mon rectum. Quand elle les retire j'ai l'impression que la muqueuse reste collée à ses doigts et sort de mon corps 'C'est ainsi qu'on attrape des hémorroïdes'.

    Dans un brouillard de douleur j’entends Cassandre qui pleure, ce n’est pas elle qui souffre mais elle est terrorisée par la suite que devrait prendre les événements pour son derrière très probablement vierge.

     Je suis à demie inconsciente. Natalie continue sa 'fouille'. Je me rends compte que j'aurai droit à un fisting anal comme Laetitia appelle cela en rougissant lorsque je lui demande de rentrer sa petite main dans mon rectum. Je ne peux m'empêcher de crier quand la douleur dans mon anus monte d'un cran ; Natalie a de grosses paluches d’homme, c’est différent et douloureux, et maintenant elle joint son pouce et son petit doigt aux autres en respirant lourdement elle essaye de faire rentrer son poing dans mon derrière.
    J'ai le cul en feu, comme si on y avait coulé de la lave en fusion. J'ai un éblouissement quand elle se laisse tomber sur moi de tout son poids, encouragée par Mado Lavergne Son poing entre d'un coup dans mon rectum, je sens quelque chose qui se déchire, puis la douleur diminue. A nouveau je fais pipi sous moi, mais je m'en fiche, je suis dans un état second. Je sens que Natalie
    prend son rôle très au sérieux et me malaxe le ventre de l'intérieur, la main ouverte dans mon rectum. Quand elle se met à frapper mes fesses de sa main libre pour me faire contracter les muscles de mon ventre autour de sa main, une douce torpeur m'envahit et je m'enfonce dans de l'ouate vers un monde où il n'y a plus de douleur...
     

    - fin de la première partie –

    En illustration Valérie Pérrier fistée par Natalie Borniol et maintenue par Mado Lavergne, sur le plan du dessous nous voyons Cassandre Lemercier sanglée sur la table d’examen de la salle de bain.

    Mac Pyridine Company story-59

    Par Charlène Ospif d’après le récit de Valérie Perrier

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