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Mac Pyridine Company story-65
By Mac-Pyridine in Home on 16 January 2025 à 14:15Punie ! - (Quatrième partie)
Le lendemain matin au réveil Cassandre n’avait qu’une chose à l’esprit, une exclamation de sa conscience intérieure : « Je suis tellement pleine que je ne m’appartiens plus !», c’est ce qu’elle avait ressenti durant cette session de lavements, ce sentiment d’envahissement et de remplissage.
Pour la rassurer je lui avais dit :
Le lavement est une pratique tribale, dont il ne faut pas être dégoûté. C’est la poétique des entrailles, la métaphysique des membranes. Et elle avait pris l’initiative de la conversation.
« -Je pense que Natalie veut nous fister propre les premières fois, mais pas par la suite, tu as vu ce qu’elle a fait hier !
-Le fist vous met souvent en contact avec la merde, car même si le-la partenaire fait un lavement avant, ça reste parfois un peu beaucoup sale et salissant. Lorsqu’on se livre à la main, on renonce sciemment à cette forme de dignité qui consiste à se cacher pour déféquer. La honte se mélange donc parfois au plaisir, cocktail aphrodisiaque. Et le plaisir de se faire fister se double du plaisir d’avoir dépassé la limite du bon-goût. Depuis toute petite, on apprend que le caca c’est ‘caca’ ». On grandit avec l’idée que notre corps produit des choses toxiques, dangereuses, néfastes qui sentent mauvais et qui sont dégoûtantes. La personne qui vous ‘ fiste’ le fait en prenant son plaisir et en vous donnant de l’amour. Le corps devient le champ de bataille de sentiments contradictoires qui se résolvent par la victoire : si vous jouissez, peu importe que vos fesses soient maculées comme les mains de votre partenaire, si vous jouissez c’est qu’il y a moyen de transformer la merde en or. Le’fist’ procède de l’alchimie.
-Eh bien Valérie ! tu sembles exaltée, et dithyrambique sur le sujet. Mais attention ce ne sont que des paroles, dans l’action, quelquefois, c’est très différent.
-Je lis parfois les articles de Libération et je crois que Natalie aussi.
- Essayons de la surprendre !
-Oui ! mais avec prudence »
Priscilla Kelle vint nous rejoindre dans notre chambre à huit heures pour nous amener en salle de travail, c’est-à-dire dans le bureau aménagé de la directrice de l’institut. Priscilla nous rappela que Natalie était sa supérieure hiérarchique n+2 et qu’elle lui avait ordonné de l’assister ce matin. Elle lui avait dit à voix basse et à l’oreille qu’elle allait lui enseigner comment lier la conscience de la réalité et le plaisir par la douleur, et elle l’avait mordue. Nous étions les cobayes d’étude de Priscilla, nos plans pour perturber Natalie étaient très compromis et nous étions à nouveau terrorisées. Que prévoyait Natalie Borniol ?
Deux chaises gynécologiques étaient disposées à soixante degrés l’une par rapport à l’autre, Priscilla nous demanda de retirer nos peignoirs de nous positionner jambes dans les étriers, alors Priscilla nous attacha et appela Natalie.
Natalie arriva et sans même nous dire bonjour dit à Priscilla :
« -Montre- moi qu’elles sont propres. Avec les Sakurais grande taille ouvert au maximum. Fais-vite !
-Mais madame elle ne sont pas préparés du tout.
-Sors moi le flacon de glycérine et une seringue de cinquante ml. Enduit leurs trous du cul avec une noisette de lubrifiant à l’eau et injecte dans leurs rectum une dose de la fée magique, elle va les dilater à grande vitesse. »
La glycérine fit effet en moins de trois minutes j’étais comme fistée sans l’être, je ressentais une poussée énorme, comme une envie de chier géante et douloureuse, je sentais que je perdais le contrôle de mon rectum, je me mis à geindre tellement la sensation était horrible et intense, Cassandre à coté de moi émettait des grognements semblables à ceux d’une otarie. Greu, greeeeeuuu, grrrr,groaar…Qui se transformèrent bientôt pour elle comme pour moi en râles d’agonie ou de plaisirs, raaah, raaaaaah… Lorsque perdant la maitrise, la glycérine s’écoula le long de nos cuisses en nous brulant l’anus je pensais que le calvaire allait se terminer, mais la sensation s’intensifia, la glycérine résiduelle nous dilatais si sévèrement que j’avais l’impression que l’on m’arrachait le rectum
« -C’est le moment enfile les spéculums. Remplir leurs cavités béantes va les soulager.
-Oh oui Oh Oui ! Cassandre et moi étions en effet soulagées et quelques peu libérées de la souffrance malgré l’invasion par le matériel d’exploration qui nous étirait.
-C’est bien c’est propre, Priscilla…tu peux retirer les spéculums. Tu peux détacher le capitaine Perrier et fait là s’asseoir sur la chaise dans l’angle derrière moi. »
Natalie était assise entre les jambes de la jeune capitaine Cassandre Lemercier juste devant moi, elle massait l’anus de Cassandre tout en lui aspirant le clitoris, mais maintenant elle accélérait ses caresses sur la vulve, elle entrait ses doigts dans l’anus et poussait sa main dans le rectum de cassandre qui s’arque boutait en gémissant et en criant, c’était un mélange des deux à la fois qui parfois ressemblait à un couinement d’animal malmené et pris au piège d’émotions contradictoires qu’il ne savait contrôler. Je savais que ma vulve était trempée et j’étais très excitée, je laissais ma main partir entre mes jambes alors que Natalie me tournait le dos et embrassait goulument Cassandre qui ne devait plus rien comprendre à la situation. Je compris alors que Natalie la formait, par le plaisir, la douleur, et la perte de repère, à son futur poste d’officier de marine de la Mac Pyridine Compagnie. Et à ce moment…
« -Je vois que vous comprenez Valérie. Ne vous caressez pas. Stop ! Votre punition à vous est d’une nature différente.
Priscilla ! Apportez la ceinture de chasteté que j’ai préparée. Prenez avec la sonde urétrale et le plug anal de sept centimètres.
-Je comprends.
-Non vous ne comprenez pas Valérie, je vais jouer avec votre confort comme dans la tempête au large, je vais vous imposer une période de constipation de quatre jours avec prise de paraffine liquide tous les soirs, et ensuite je reviendrai jouer avec vous.
-Priscilla, vous allez équiper la capitaine Perrier de la ceinture de chasteté avec ses accessoires, vous me donnerez la clef, ensuite ramener les chacune dans une chambre et faite leur prendre leurs repas séparément selon les menus que j’ai établis pour chacune, elles ne doivent plus se revoir avant leur dernier jour ici à Port Louis »
Ces quatre jours furent terribles, surtout les deux derniers, j’avais de la paraffine qui suintait de mon anus jour et nuit ce qui ajoutait à l’inconfort dû aux crispations et contractions de mon rectum provoquées par le plug et le retour de mes selles. Tous les jours lorsque Cassandre était en session de dilatation, Priscilla me laissait les chevilles attachées sur une chaise fixée au sol à coté de la porte de la salle de travail et j’entendais Cassandre gémir de plaisir et de douleur tour à tour, malgré mon inconfort j’entrais toujours en état d’excitation intense, je ne pouvais me soulager et mes chairs impatientes gonflées de désir, gênées par la sonde urinaire souffraient ensuite de démangeaisons indescriptibles. Le quatrième jour arriva enfin, j’avais le ventre gonflé par les gaz qui avaient du mal à s’échapper, j’avais les fesses grasses de la paraffine qui sortait sous la pression, les dernières trente-six heures Priscilla m’avait obligé à porter une couche sur les ordres de Natalie, tous mes fluides restaient bloqués dans celle-ci.
On m’imposa quatre périodes de cette immonde torture en me traitant de manière infame entre chaque épisode, me faisant subir des choses qui me permettait de reprendre un autre cycle, toujours la même procédure, le jour précédent notre départ, je devais recevoir mon dernier supplice et c’est celui-ci que je vais vous raconter, j’ai encore honte aujourd’hui d’avoir pris du plaisir à ces moments et encore plus honte d’en avoir la nostalgie.
Priscilla m’amena comme les autres fois en salle de travail, il n’y avait plus de chaise gynécologique, juste un petit fauteuil et un grand matelas avec une bâche PVC noire posée dessus. J’étais à moitié pliée en deux avec mes entrailles sous pression, chaque cycle était pire que le précédent et l’huile de paraffine en excès me donnait des palpitations qui me fatiguait beaucoup malgré l’écoulement de plus en plus important qui aurait dû me protéger des effets secondaires du traitement. Priscilla avait maintenant beaucoup de mal à me maintenir propre et mes fesses étaient rouges irritées et couvertes de boutons. Natalie Borniol responsable médicale des punitions est rentrée dans la pièce uniquement vêtue d’un tee-shirt noir avec motif multicolore, et, à ma grande surprise, elle était suivie de Cassandre qui portait juste un petit soutien-gorge rose.
« -Retirez votre couche Valérie que Cassandre vous voit dans votre belle tenue. Prenez place dans le fauteuil et regardez !
Je me suis retrouvée sidérée lorsque cote à cote Natalie et Cassandre me présentèrent leurs postérieurs en levrette ouvert par deux énormes spéculums. Natalie se rapprocha pour m’exposer son trou ouvert à trente centimètres de mon visage, alors immédiatement ma libido s’emballa mes yeux absorbés par l’accès palpitant au colon sigmoïde de la dominatrice. Sans un mot Natalie retourna vers Cassandre retira le spéculum et écarta son anus à deux mains :
-Pousse Cassandre, montre ta belle rose au capitaine Perrier, vous voyez capitaine mon travail est fini, et la punition de Cassandre est levée. Maintenant voyons comment là votre va trouver son aboutissement. A quatre pattes sur la bâche, la cuvette sous les fesses et entre vos jambes ! C’est Cassandre qui va vous libérer aujourd’hui.
-Oh non pas Cassandre, s’il vous plait, ne m’avez-vous pas assez humiliée ?
-Si mais Cassandre doit apprendre, Cassandre !
-Oui Maitresse Natalie.
-Voici la clef pour libérer votre collègue, enfilez les longs gants épais en caoutchouc noir posés sur le petit meuble, attention ! avec le laxatif lubrifiant elle va se vider en une seule fois. Caressez-lui le ventre, voyez comme elle est pleine comme une femelle Beluga, elle va nous donner son caviar. Il ne faudra pas en perdre.
Je sentais mes jambes qui tremblaient alors que cassandre ouvrait la ceinture et tirait pour retirer le plug, je pleurais déjà lorsque que mes selles épaisses mais fluides se précipitèrent avec force dans la bassine en provoquant chez moi des sensations intenses et jouissives, je prenais plaisir malgré moi alors que Natalie riait en me tapant sur les fesses pendant que Cassandre pleurait et vomissait.
-Maintenant Cassandre il faut la fister pour la vider complétement, elle pleure de honte mais en fait elle adore ça. Elle a joui les trois premières fois, elle va vous montrez une belle rose toute brune quand vous sortirez vos mains pleines de la récolte du jour, raclez bien le fond, pendant que je m’installe devant elle pour lui offrir ma grosse rondelle entrouverte.
Entre bien ta langue cochonne et nettoie bien les bords j’ai fait caca sans m’essuyer ce matin, je pensais à toi. »
Encore une fois un frisson monta le long de ma colonne vertébrale, ma chatte devint fontaine sous l’effet de l’excitation et le tourbillon dans mon esprit au bord du gouffre, mes jambes se mirent à trembler, je perdis le contrôle de mon rectum qui se contracta de multiples fois me faisant pisser de plaisir avant que je m’effondre sur le ventre, épuisée, la main de cassandre bien au fond de mon boc rectal vidé de la pâte visqueuse newtonienne et des petites olives de merde dure que mon anus sensible avait senti sortir une par une .
« -Voilà c’est la fin… Prenez une douche et rendez-vous au port de Lorient, le capitaine Mado Lavergne vous attend avec le Fusion pour vous ramener à Flekkefjord.
-Valérie !
-Quoi ?
-Je viendrai te sucer, te lécher, manger ta rondelle souillée dans quelques mois en Norvège, je suis certaine que je vais te manquer et que dans moins de quelques semaines tu seras impatiente »
Rouge de honte j’ai tourné les talons sans répondre mais je savais que Natalie avait raison, et déjà j’étais mouillée à l’idée de baiser dans nos cacas odorants, au fumet de ferme, soumise à celle que j’acceptais maintenant et librement comme ma dominatrice, comment faire dorénavant avec Laetitia ? Garder le secret ?
Valérie Perrier (Mémoire rédigé avec l’aide de Charlène Ospif)
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