• Nous avons voyagé très loin et avons pris le grand large pour recruter la nouvelle employée permanente du club et lui faire signer son contrat. Il fallait aussi vérifier son CV, comme vous le voyez il est parfait.

    The universal anal gaping club-19

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  • Comme un papillon monarque.

    Le Palais des chattes-14

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  • Plus bas vous trouverez un photographie de Pascale Fuji la chargée de communication de la Mac Pyridine company, elle est accompagnée d'un de ses premiers clichés qu'elle avait réalisé lors de son premier reportage à l'occasion de la visite de madame Lachaise à l'institut Ospif dirigé par Denise Ospif actuelle président directeur général de la compagnie.A cette époque Pascale était l'assistante de Marie Louise la secrétaire de Denise.

    Collection "La Directrice"

    "La maman de Martine."

    "Je suis Madame Lachaise, la maman de le petite Martine de deuxième... Je suis venue pour réclamer. Voyez-vous, ma fille est très intelligente ; pourtant ce prof de chimie lui a collé un zéro pour son examen. J'exige que vous interveniez. En tant que directrice de cette école, vous êtes responsable des actes de vos employés..."
    J'avais écouté son débit sans broncher, tout comme je n'avais rien dit quand Madame Lachaise était entrée dans mon bureau sans même frapper à la porte.
    Je connaissais la situation: la petite Martine était très intelligente, c'est vrai. Mais la petite garce était tout aussi paresseuse qu'intelligente. Elle n'avait pas étudié son examen, persuadé que la mémoire étant l'intelligence des imbéciles...
    Prise de panique la petite Martine avait essayé de copier de sa voisine. Le prof de chimie, Madame Aureyc, l'avait avertie une première fois. Mais Martine avait recommencé, persuadée que le professeur n'oserait pas lui prendre sa feuille. Bien entendu, Madame Aureyc n'avait pas hésité, et lui avait donné un zéro, selon le règlement en vigueur dans mon école.
    Je n'aimais pas beaucoup Martine Lachaise, petite pimbêche prétentieuse, mais maintenant je savais de qui elle tenait cette mentalité arrogante.
    "Alors? J'attends une réponse!" Son arrogance était palpable et je décidais sur le champs de lui donner une leçon. D'habitude je me limite à corriger mes élèves, mais dans ce cas-ci, je trouvais que je devais éduquer aussi la mère d'une de mes élèves. Je me levai et appuyai sur un des boutons de la commande qui se trouvait sur mon bureau. Quinze secondes plus tard, par la porte du fond caché par une tapisserie, ma secrétaire Marie Louise et son assistante Pascale entrèrent dans la pièce. Elles encadrèrent madame Lachaise.
    "Madame Lachaise, vous avez eu raison de venir. Nous allons vous soigner. Quand vous sortirez d'ici, vous serez comme neuve..." Puis je m'adressai aux deux autres:
    "Bâillonnez Madame et conduisez-la dans ma salle de bains."
    Marie louise, qui était ceinture marron de karaté, lui prit les bras derrière le dos d'une prise imparable, tandis que Pascale noua un foulard sur la bouche trop maquillée de la jolie femme blonde. Les yeux de cette dernière s'agrandirent quand elle se rendit compte de la situation. Elle secoua la tête d'un air incrédule, comme si elle rêvait et allait se réveiller d'un moment à l'autre.
    On la conduisit dans la pièce adjacente, celle que j'appelais "ma salle de bains". C'était une vaste pièce sans fenêtres, entièrement carrelée, même les murs. D'un côté il y avait un bain, un bidet et une toilette ; de l'autre côté il y avait une table gynécologique que j'avais acheté dans vente publique. Dans le coin le plus éloigné, il y avait un coin-douche qui pouvait être fermé par un rideau en plastique.
    "Couchez-la sur le ventre, sur le tapis de bain."
    La belle bourgeoise se débattit de plus belle, mais une légère pression de Marie Louise sur les articulations suffit pour la calmer : quelques millimètres en plus et elle lui disloqua l'épaule. Marie Louise lui fit un croc en jambe et la coucha sur le tapis-éponge bleu. Madame Lachaise en perdit ses chaussures italiennes.
    Puis Marie Louise lui attacha les mains derrière le dos avec les menottes qui je lui passai.
    Entre-temps Pascale Fugi , l’assistante asiatique de Marie Louise avait ajusté la caméra vidéo sur la femme couchée. Le voyant rouge indiquait que toute la scène était enregistrée.
    "Nous allons vous soigner, vous purifier de toutes ses vilaines pensées que vous avez." lui dis-je à voix basse. "Et pour que personne n'oublie cette séance mémorable, mon assistante va tout filmer. Je vous ferai remettre une copie de la cassette par Martine..."
    La femme se débattit de plus belle, mais Marie Louise s'assit carrément sur son dos, la clouant au sol comme un papillon.
    Je me mis au travail. Je m'accroupis et d'un coup sec je relevais la robe noire jusqu'aux hanches. Comme chaque fois que je traitais une fille ou une femme, je sentis un agréable picotement entre mes jambes. Je souris à l'idée qu'après ce "traitement" je devrai sûrement changer de culotte...
    Je m'adressai à Pascale :
    "Mademoiselle, voulez-vous faire un travelling et filmer depuis le visage de Madame jusqu'à son postérieur ? Là vous pouvez bloquer la caméra, car c'est à cet endroit que le traitement aura lieu."
    Consciencieusement Pascale se mit au travail, filmant avec plaisir les yeux horrifiés de la maman de Martine...
    En-dessous de sa robe elle portait un panty noir et à travers le fin Nylon on apercevait une mignonne petite culotte blanche, garnie de dentelle.
    Je pris l'élastique du panty à deux mains et le descendit comme on pèle une anguille, jusqu'aux genoux. La bourgeoise se mit à gémir et ferma les yeux.
    Le picotement entre mes jambes se fit plus pressant. J'aspirais un bon coup pour résister à la tentation de mettre ma main sur mon sexe et de me caresser sur place. Je me concentrais sur mon travail.
    Avec lenteur calculée je lui descendis le slip blanc jusqu'à mi-cuisses, dévoilant un superbe fessier où les premiers rayons de soleil de l'été avaient déjà dessiné la marque blanche du bikini. Spasmodiquement les puissants muscles des fesses se contractaient, puis se relâchaient.
    "Mademoiselle, voulez-vous faire un close-up de l'entrejambes de Madame ? N'oubliez pas non plus de filmer la jolie culotte, qu'on puisse bien voir comment elle en a joliment garni le fond à la crème au beurre..." La madame en question serra violemment les cuisses.
    "Marie Louise, passez-moi l'écarteur je vous prie."
    L'écarteur était une caissette en bois, de la taille d'une boîte à chaussures. J'y rangeais quelques godemichets. Après un court mais inégal combat, la caissette fût placée entre les genoux de la femme, entre le panty retroussé et la culotte blanche enroulée, maintenant les cuisses écartées. De cette façon nous avions une magnifique vue sur l'entrejambes de la jeune femme. J'enfilais de fins gants chirurgicaux.
    "Mademoiselle, pouvez-vous filmer le sexe de Madame ? Que l'on voit bien combien les lèvres sont gonflées, surtout qu'elles sont rasées de près." Je passai une main entre les cuisses écartées. Pas un poil...
    "Notez que Madame la Salope s'est même entièrement rasée le pubis... Bon, maintenant je vais délicatement ouvrir le sexe de Madame, que vous puissiez filmer l'entrée de son vagin..."
    Avec le pouce et l'index de la main gauche j'écarta les lèvres glabres, exposant la chair ruisselante. Je serais mes cuisses comme si c'était mon sexe qui était exposé à la caméra, puis je pénétrai ce vagin de deux doigts.
    Je ne rencontrai aucune résistance : malgré que la maman de Martine serait ses cuisses de toutes ses forces sur l'écarteur, ses muqueuses intimes étaient réceptives. Encore une femelle trahie par son intimité...
    Quand je ressortis mes doigts, ils étaient gluants des sécrétions intimes de Madame Lachaise. Pascale filmait tout avec l'application d'une camerawoman professionnelle.
    "Madame Lachaise, nous allons commencer votre traitement !" lui dis-je triomphalement. Elle se cabra au mot "commencer", pensant sans doute qu'elle avait déjà tout subi ce qu'elle pouvait subir...
    Je lui ouvris les fesses d'une main, pris une bonne dose de vaseline de l'autre, et l'appliquai sur son anus. Elle tenta de bouger, mais le poids de Marie Louise l'en empêchait.
    Après avoir tourné quelques fois autour du muscle, je me mis à pousser de plus en plus fort jusqu'à ce que mon médius pénètre le conduit anal. La sensation était exquise : mon doigt était comme pris dans une gangue brûlante qui palpitait rapidement. Je courbais le doigt et me mis à le bouger dans le rectum de la jeune femme, pour mieux dilater le sphincter. Puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Elle gémit de plus belle. Ses fesses s'étaient couvertes de chair de poule. Quand j'écartais mes deux doigts enfouis dans son ouverture intime pour y glisser un troisième, un vent s'échappa.
    "Voyons Madame Lachaise, vous pourriez essayer de vous retenir. Nous allons remédier à cela en vous donnant un lavement."
    Là, la maman de Martine se mit vraiment à gigoter de plus belle, voulant absolument nous communiquer son désaccord.
    Je retirais mes doigts et les remplaça par l'embouchure fixée sur le tuyau de l'appareil à lavement. Je le glissais le plus loin possible dans son rectum, suivi du tube de plastique transparent, puis j'ouvris le robinet. Pascale avait rempli le sac de caoutchouc rouge au maximum, ce qui faisait plus de deux litres.
    L'eau était froide, comme je l'avais demandé. Comme cela, Madame Lachaise sentirait mieux la progression dans ses intestins.
    Dès que l'eau entra par son anus, elle se mit à gémir et bouger son derrière d'une façon hautement comique. Pascale n'en ratait rien avec sa caméra vidéo.
    Le niveau dans le sac baissait vite et la jeune femme devait avoir le ventre douloureux. Je fis lever Claudine du dos de Lachaise, puis passai un manche à balai en-dessous des hanches de la femme. A deux nous lui soulevèrent le bassin, permettant ainsi à son ventre de se détendre plus facilement. Elle ressemblait maintenant à une femme enceinte de sept ou huit mois. La douleur se dessina sur son visage. Plus de traces d'arrogance...
    Quand le sac fut vide je lui dis :
    "Maintenant je vais retirer l'embouchure de votre rectum. Je vous conseille de bien serrer les fesses, car si vous me faites ne fût-ce qu'une goutte sur le tapis, je vous la fait lécher..."
    Je retirais le tuyau et l'embouchure dont le bout était légèrement souillé. La femme n'arrêtait pas de gémir, le ventre distendu comme un amateur de bière.
    A deux nous l'aidâmes à se lever et se diriger vers la toilette dans le fond de la pièce. Au moment où elle allait s'asseoir j'interrompis son mouvement :
    "Stop ! Encore un petit instant et vous pourrez vous vider à votr'aise." et d'un geste preste je lui remis son slip de dentelle blanche en place, suivi du panty noir.
    Ses yeux s'agrandirent quand elle comprit enfin ce que venais de faire. Mais déjà Marie Louise et moi la déposions sur la toilette. Tandis que Marie Louise lui poussait les épaules en arrière contre la lunette levée, je lui maintenais les genoux ouverts afin de permettre à Pascale de bien filmer la scène.
    Madame Lachaise secouait la tête avec véhémence, des larmes faisant couler son maquillage. Puis nous entendîmes un vent, suivi d'un bruit humide. Elle ouvrit les yeux en grand quand elle sentit que ses intestins avaient commencé à rejeter l'eau et que sa culotte de dentelle et son panty faisaient écran, maintenant le liquide maintenant chaud entre ses cuisses.
    Une nouvelle crampe fut suivie d'un nouveau jet, inondant sa vulve ; une traînée humide apparut sur le devant du panty noir. Puis on entendit couler l'eau dans la toilette, la culotte ayant dépassé sa capacité. Plusieurs minutes passèrent, avec une crampe toutes les trente secondes. Nous attendions la scène finale.
    Enfin l'expression horrifiée atteignit son apogée quand le contenu plus ou moins solide de ses intestins fut aussi éjecté et se fraya un passage entre ses cuisses. La masse brûlante déforma le panty noir. Madame Lachaise se battit pour se lever, pour ne plus sentir ce contact ignoble entre ses jambes, mais nous la tenions solidement.
    Puis, voyant que cette souillon avait totalement vidé ses intestins, je lui permis de se mettre debout. Le fond du panty pendant lamentablement à mi-cuisses. Je lui souris et au même instant je lui plaquais ma main gantée entre les cuisses et me mis à masser la masse chaude, la forçant entre les lèvres de son sexe, dans l'ouverture de son vagin, et sur son bas-ventre. Elle se mit à uriner, en proie à une crise d'hystérie. L'urine se mélangeait à la masse nauséabonde et coulait le long de ses jambes, traçant des lignes gluantes sur le panty noir.
    Avec Marie Louise je mis la jeune femme sur une grande feuille de plastique et nous la soulevâmes jusqu'à la douche. Là sa robe et son soutien-gorge furent enlevés. Madame Lachaise avait une triste mine, nue jusqu'à la ceinture, et pour le reste, habillée du panty noir déformé de tous les côtés par cette masse gluante.
    Ses mains furent attachées à une chaîne qui descendait du plafond. Marie Louise prit la lance d'arrosage et rinça l'entrejambe de la jeune femme à grands jets. D'abord la masse fut diluée et rincée.
    Ensuite, après avoir enlevé le panty et le slip de dentelle, il a fallu beaucoup d'eau avant que nous puissions enfin admirer le sexe rasé de la maman de Martine.
    Quand Madame Lachaise fût enfin propre, nous avons achevé notre besogne en lui rinçant les intestins plusieurs fois : pendant Marie Louise et moi la tenions, Pascale insérait l'embout du tuyau d'arrosage dans son anus, puis ouvrait l'arrivée d'eau. Le ventre se distendait à vue d'œil. Ensuite Pascale retira brutalement le tuyau, permettant à l'eau de s'échapper. Quand l'eau qui en sortait devint aussi claire que celle qui y entrait, nous avons conclu que Madame Lachaise était enfin propre comme un sou neuf.
    Depuis ce jour la petite Martine a toujours fait de bons examens, sa maman veillant consciencieusement à ce qu'elle étudie bien sa matière...

    - fin de l'épisode -

    Copyright: © Charlène O. (juin 2000)

    Mac Pyridine Company story-16

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  • Comme prévu et toujours avec autorisation de Denise voici le capitaine Marlyse Dufour(diplomée de l'institut Ospif et surnommée code 4) et le WIZARD de la Mac Pyridine company.

    Mac Pyridine Company story-15

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  • Vous trouverez plus bas un portrait de Marie Louise Fistamat le secrétaire de Denise épouse Ospif née Mac Pyridine directrice de l'insitut formant les navigants de la compagnie, ainsi nous présenterons dans peu de temps Marlyse Dufour capitaine du WIZARD un de nos meilleurs navire à Homer.

    Collection "La Directrice"

    Episode 3: "La punition de Marlyse."

    "Entrez!"
    La voix de Madame la Directrice était sèche. Marlyse hésita, puis entra dans le bureau.
    Madame Ospif, directrice du Collège qui portait son nom, trônait derrière un énorme bureau de bois sombre. Toute la pièce était mal éclairé, comme si on y traitait des affaires qui ne supportaient pas la lumière du jour...
    Par la porte ouverte on pouvait apercevoir Madame Louise, la secrétaire de la Directrice, occupée à trier le courrier dans la pièce à coté.
    Madame la directrice leva les yeux sur Marlyse.
    "Tiens, Mademoiselle Marlyse Dufour... A peine une semaine chez nous et déjà en punition?"
    Marlyse se dandinait de l'un pied à l'autre.
    "Oui Madame..."
    "Voyons... mardi neuf heures trente... vous avez cours d'histoire, de Madame Malville?"
    "Oui Madame..."
    "Je vois... Et que vous a-t-elle dit exactement, Madame Malville?"
    "Elle a dit de vous dire ‘Code 4' ou quelque chose comme ça..."
    "Code 4? Elle a dit ‘Code 4'?" La voix de la directrice était incrédule. "Bon, très bien. Elle a sûrement ses raisons. Venez!"
    Elle se leva et alla de l'autre coté de la pièce, et s'installa dans un large fauteuil de bois comme on peut voir sur les gravures anciennes. Les accoudoirs brillaient de cire.
    "Madame Louise, je vais avoir besoin de vos services..."
    La femme, le bon coté de la cinquantaine, laissa son courrier et se hâta vers la directrice.
    "Mademoiselle Dufour, vous allez être punie. Comme c'est votre première fois - et j'espère aussi la dernière -, la punition sera exemplaire. Venez vous mettre devant moi!"
    La jeune fille s'approcha de la directrice assise et, les mains derrière le dos, s'approcha jusqu'à ce que ses genoux, découverts par la jupe d'uniforme grise à plis, touchent presque les genoux de la directrice. Celle-ci lui prit les mains et les posa sur les accoudoirs de sa chaise, forçant Marlyse à se courber pour ne pas perdre l'équilibre. Son dos était à l'horizontale et elle s'appuyait sur ses mains pour ne pas tomber en avant. De cette façon son visage se trouvait à quelques centimètres à peine du visage sévère de la directrice.
    "Pour vous éviter de faire une bêtise, je vais vous tenir les mains; j'exige un silence total: tout bruit ne fera que prolonger votre supplice. Aussi je veux que vous me regardiez droit dans les yeux. C'est ça, comme cela..."
    Marlyse s'effraya du regard dur et pénétrant, il avait quelque chose d'hypnotique. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale. Elle se rendit compte que le regard l'attirait inexorablement.
    Lorsque la directrice força ses pieds entre ceux de Marlyse, son regard ne cilla même pas et docilement elle suivit le mouvement et écarta ses pieds.
    Elle commençait à peine à se rendre compte que la punition ne comportait pas l'un ou l'autre travail scolaire comme dans son école précédante, mais une punition physique, un bonne vielle fessée...
    Sans bouger la tête la directrice se mit à donner ses directives à Madame Louise:
    "Allez prendre la latte souple sur le rayon inférieur de mon armoire... Bien.
    Maintenant relevez-lui la jupe..."
    Les jambes de Marlyse se couvrirent de chair de poule quand elle se rendit compte que Madame Louise lui avait remonté sa jupe d'école, l'enroulant jusqu'à ce qu'elle ne fasse plus qu'une sorte de bouée de tissus gris autour de sa taille, mettant à nu la culotte de coton blanche.
    "Comme je vous ai dit tout à l'heure, cette punition sera exemplaire. C'est pour cela que vous aurez dix coups de latte, pas sur votre postérieur, mais dans l'entrejambe. Je sais que c'est extrêmement douloureux et affreusement humiliant, mais cela vous fera réfléchir avant de récidiver... Madame Louise, je vous en prie... dix coups entre ses jambes... et n'y allez pas de main morte, c'est pour son bien..."
    Marlyse croyait rêver. Ce n'était quand même pas possible, une punition corporelle ? Et pourtant ses mains étaient maintenues sur les accoudoirs comme si elles avaient été dans des étaux, les yeux de la directrice étaient à moins de vingt centimètre des siens, et elle sentait le déplacement d'air provoqué par Madame Louise, sur ses cuisses nues. Puis elle vit les lèvres devant elle bouger :
    "Maintenant !"
    D'abord rien ne se passa. Puis elle entendit comme un claquement, presque immédiatement suivi d'une vive douleur entre ses jambes. Elle cria, les yeux grands ouverts, le souffle coupé.
    Incrédule Marlyse regarda le visage impassible de la directrice, vit à nouveau les lèvres bouger...
    "Aaaahhh ! ! !" Marlyse secoua la tête, tenta de se redresser. Mais la poigne de la directrice ne fléchit pas et pour la troisième fois Madame Louise prit un élan, tendit le bras derrière elle, la latte le prolongeant, et comme une joueuse professionnelle de tennis balança son bras et frappa de plein fouet le centre de la culotte blanche. Elle vit le postérieur de la jeune fille se soulever sous l'effet de son coup droit, puis le fond de la culotte devint plus foncé : Marlyse Dufour ne contrôlait plus sa vessie et urinait sous elle...
    "Aaahh ! ! ! Je vous en prie arrêtez, assez ! ! Pitié ! ! ! Mal, j'ai mal... Laissez-moi, je vous en supplie..." les derniers mots se perdirent dans le sanglots. L'urine avait coulé le long de sa jambe et faisait une tache sombre sur le parquet ciré.
    Dans sa douleur Marlyse avait fermé les yeux. La voix glaciale de la directrice les lui fit ouvrir :
    "Stop ! Madame Louise, allez chercher une serviette imperméable et des gants, en haut dans l'armoire."
    Puis elle s'adressa à Marlyse :
    "Je me suis trompée. Je vous avais laissé le bénéfice du doute. J'étais convaincue que vous subiriez votre punition avec dignité. Il va falloir vous mâter, une simple punition ne semble pas suffir..."
    Madame Louise déplia une serviette comme on emploie dans les hôpitaux pour les personnes incontinentes, un large carré de plastique recouvert de cellulose absorbante, et le plaça entre les pieds de Marlyse.
    "Madame Louise, déculottez cette jeune fille, nous allons passer aux choses sérieuses."
    La secrétaire agrippa l'élastique et tira la culotte sur les hanches de Marlyse, découvrant les fesses blanches. Elle fit glisser le slip le long des jambes, puis lui fit lever les pieds pour l'enlever.
    "Voulez-vous essuyer ses jambes, avant que tout ne sente l'urine..."
    Madame Louise frotta l'intérieur des cuisses de Marlyse, puis passa la culotte sur le sexe de l'adolescente, la faisant frissonner de honte. Elle tendit la culotte mouillée à la directrice.
    Celle-ci força Marlyse à ouvrir la bouche et y fourra la culotte, coupant net aux jérémiades de la jeune fille. Avec une fine lanière de cuir qu'elle attacha sur la nuque, la jeune fille fut bâillonnée.
    Marlyse sentit que les minutes suivantes allaient être très désagréables. Elle et se mit à trembler, morte de honte, quand la directrice lui écarta à nouveau les genoux. Elle se rendit compte avec horreur que son sexe était béant et que tant la directrice que la secrétaire pouvaient voir son intimité. Elle ne s'était jamais sentie si nue, si vulnérable. Son entrejambe était en feu suite
    aux coups de latte. Elle dut se concentrer pour ne pas continuer à uriner car elle avait la vessie pleine et la pression était plutôt désagréable.
    "Madame Louise, avant de continuer, veuillez fouiller le rectum de cette demoiselle, afin de nous assurer qu'il n'y aura pas de surprise de ce coté-là."
    Sans douceur Madame Louise écarta les fesses de l'adolescente, exposant l'anneau foncé de son anus. D'une main gantée elle y apporta copieusement de la vaseline, puis se mit à l'étendre le long de la fente. Elle s'agenouilla pour être mieux à la hauteur et vit que la vulve était trempée. Le clitoris et les petites lèvres étaient d'un rouge vif, suite à la première partie de la
    punition.
    Sidérée, les mains toujours maintenues sur les accoudoirs par Madame la directrice, Marlyse laissa faire, trop choquée pour réagir. Mais quand elle sentit une doigt pousser sur le muscle de son petit trou puis pénétrer son ouverture intime elle voulut protester. Elle se rendit compte de son bâillon et abandonna.
    Madame Louise enduit les pourtours de l'anus de vaseline et força un deuxième doigt dans l'ouverture, faisant faire à ses doigts une gymnastique pour élargir l'accès. Elle savait très bien ce que la directrice attendait d'elle.
    Depuis le temps qu'elle était sa secrétaire, elle avait eu toutes les leçons nécessaires: fessées, fouettages, humiliations diverses... Au départ elle n'était ni sadique, ni bisexuelle, mais le magnétisme de la directrice avait joué et maintenant elle aimait son travail parce qu'il lui procurait une impression de puissance. Quand elle avait devant elle un derrière de jeune
    fille prêt à être cravaché ou fouetté, elle en éprouvait un plaisir sexuel.
    Plus la douleur et l'humiliation qu'elle infligeait était forte, plus elle s'excitait. La directrice avait rapidement découvert ce penchant de sa secrétaire et l'avait savamment exploité, faisant de la dame digne un parfait instrument de punition.
    Marlyse ressentait la pénétration comme une brûlure: comme si on lui enfonçait un pieu chauffé à blanc dans le derrière. Elle gémit, se qui ne fit qu'augmenter l'excitation des deux dames. La directrice sentit les mains de la jeune fille trembler sous les siennes. Tous les mouvements des doigts de Madame Louise étaient répercutés dans les yeux de l'adolescente. Quand Marlyse ferma les yeux un instant, la directrice sut que Madame Louise forçait un troisième doigt dans l'orifice intime de Marlyse. La jeune fille respirait bruyamment par le nez, la bouche toujours obturée par sa culotte. Elle avait fléchi les genoux pour s'ouvrir le plus possible, pour diminuer la douleur de la pénétration et l'humiliation d'être fouillée comme une criminelle.
    Son sexe béait et quand elle regarda entre ses jambes, elle vit les sécrétions intimes couler de sa vulve en une longue traînée blanchâtre. Soudain elle se rendit compte que son anus semblait s'être accommodé de l'énorme viol: la douleur était partie, remplacée par une sensation d'humiliation tout aussi douloureuse.
    Mais ce répit ne fut que de courte durée. Madame Louise mit deux doigts de chaque main dans l'anus distendu et continuait à élargir l'orifice. A travers ses doigts elle apercevait les parois roses du rectum. Elle se mit à écarter les doigts ritmiquement, ouvrant petit à petit le muscle comme il ne l'avait encore jamais été. Puis, n'y tenant plus, elle mit son pouce droit dans sa
    paume et glissa la main dans l'anus de Marlyse. La jeune fille gémit de plus belle, le muscle étant étiré à la limite de rupture. Tournant lentement Madame Louise força sa main chaque fois un peu plus profondément. Puis soudain le muscle lâcha et la main s'engouffra jusqu'au poignet dans la gaine brûlante. Pour Marlyse la sensation était tellement forte qu'elle se remit à uriner sans même s'en rendre compte; c'était comme si elle avait une bête vivante et maléfique dans le ventre.
    Madame Louise savourait le moment. L'anus encerclait son poignet et quand elle tirait sur sa main, le muscle accompagnait comme une membrane de caoutchouc.
    Elle se releva en posa sa main gauche sur le bas-ventre de l'adolescente, puis elle se mit à pousser ses mains l'une vers l'autre, prenant la matrice et la vessie de Marlyse comme dans un étau. Le résultat fut immédiat: la jeune fille avança pour échapper à la main qui violait son rectum et se retrouva assise, les jambes largement écartées, sur les genoux de la directrice.
    En même temps, le filet d'urine qui coulait le long de la jambe de Marlyse devint un jet puissant et inondait les jambes de la femme assise. Celle-ci lâcha les mains de l'adolescente, releva sa propre jupe et attira Marlyse jusqu'à ce qu'elle soit assise sur les cuisses, la vulve béante contre sa culotte noire qui fut immédiatement trempée.
    L'urine coula le long du sexe de la directrice, trempant ensuite le cuir de la chaise sur laquelle elle était assise.
    Madame Louise avait anticipé le mouvement et avait suivi Marlyse, la main droite toujours enfouie dans le colon de la jeune fille. Profitant du moment elle poussa de toutes ses forces et enfonça la main jusqu'à ce que ses doigts rencontrent le virage en S qui termine le rectum. Elle arrêta sa progression, sentant au tremblements de Marlyse que celle-ci était à ses limites
    d'endurance; la moitié de son avant-bras disparaissait dans le derrière de l'adolescente. Elle savoura la sensation sublime de l'intestin qui emprisonnait sa main, puis à regret la retira lentement. Pour Marlyse se fut un nouveau supplice: ses parois intimes réagissaient comme quand elle était à la toilette et poussaient la main de Madame Louise hors de son corps.
    Dès que sa main fut sortie, Madame Louise saisit un anneau de bois, ressemblant à un très large bracelet ou un rond de serviette, et le plaça dans l'anus toujours distendu. Il y entra à peine; une fois en place, l'anneau ne
    bougeait plus: l'anus prenait dans un bord fraisé dans le bois. Deux centimètres dépassaient de l'anus comme un rond de serviette obscène tandis que près de quinze centimètres se trouvaient à l'intérieur du corps de la jeune fille, la maintenant largement ouverte.
    La directrice fit mettre Marlyse debout, la regarda droit dans les yeux et lui dit:
    "Petite salope, regarde ce que tu as fait: tu as uriné sur mes vêtements. Tu es vraiment une dur à cuire, n'est-ce pas? Eh bien, tu verras, j'en ai maté des plus fortiches que toi! A genoux!"
    Morte de peur Marlyse s'empressa de se mettre à genoux, malgré l'énorme anneau fiché dans son rectum. A chaque mouvement une coulée d'air entra dans son rectum, c'était comme si ses entrailles étaient exposées hors de son corps.
    Son bâillon fut enlevé; ses mâchoires étaient endolories.
    "Maintenant, tu vas m'enlever les vêtements que tu as souillés..." La directrice lui prit les mains et les posa sur ses hanches, sur l'élastique de sa culotte noire. Le visage de Marlyse était à quelques centimètres de l'entrejambe mouillée; cela sentait l'urine et la femme.
    Brutalement la directrice l'attira contre elle et le visage de la jeune fille vint s'écraser contre le tissus trempé. Les doigts de la directrice s'emparèrent des siens et firent descendre la culotte le long des hanches.
    Puis le sous-vêtement humide vint se coller sur le visage de Marlyse. La directrice ferma les jambes et emprisonna la tête de la jeune fille, maintenant la culotte mouillée comme un masque couvrant son visage.
    Quand Marlyse était au bord de la syncope, la directrice relâcha son collier de chair et dit:
    "Maintenant enlève-la moi, puis tu reviens avec ta tête entre mes jambes."
    La directrice se laissa glisser en avant, de façon à ce que son entrejambe fut au bord de la chaise.
    Marlyse fit se qu'on lui dit et vint se mettre entre les cuisses charnues qui se fermèrent immédiatement.
    "Comme tu es une petite salope, tu sais très bien ce que j'attends de toi... alors vas-y!"
    Et s'adressant à Madame Louise:
    "Et vous, chère Louise, vous allez continuer la punition avec la latte, cette fois-ci sur le sexe nu, jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter..." Elle empoigna la tête de l'adolescente par les cheveux et la tira contre sa vulve.
    "Vas-y salope, au mieux tu travailles, au plus vite ta punition sera terminée..."
    Madame Louise prit position près du sexe offert, balança quelques fois son bras comme un joueur de golf, puis frappa de toute ses forces, de haut en bas, sur la vulve de l'adolescente.
    Marlyse en grogna de douleur, ses plaintes absorbées par la chair humide de la directrice. De peur pour les coups suivants elle pointa la langue et l'insinua entre les lèvres vaginales, gouttant les sécrétions salées de la directrice.
    "Mmmmmmmm!!!!" les coups de latte étaient bien plus douloureux maintenant, sur le sexe découvert, que lorsqu'il y avait la protection du slip. A chaque coup, la chair devint blanche, exsangue par le choc; pendant quelques secondes
    Marlyse ne sentait pas de douleur. Puis le sang revenait, emmenant avec lui la douleur lancinante.
    La jeune fille crispa les muscles de son bassin afin de se protéger de la douleur des coups, mais cette crispation causa une nouvelle douleur anale, quand son muscle intime se refermait avec force sur l'anneau de bois. Elle se sentait tout ouverte: non seulement son anus était maintenu ouvert, mais son sphincter urinaire était comme paralysé, et sous l'effet des coups de latte
    répétés, l'ouverture de son vagin s'était distendu, laissant librement couler ses sécrétions féminines.
    Le clitoris pointait comme une perle nacrée entre les lèvres vaginales. Madame Louise prit l'une extrémité de latte de l'une mains, et l'autre extrémité de l'autre, pliant la latte. Puis elle visa soigneusement et relâcha le plastique
    qui vint frapper de plein fouet la protubérance de chair.
    Marlyse sursauta comme si on l'avait branchée sur une prise de courant. Elle cria sans discontinuer, son cri partiellement absorbée par le sexe de la directrice. Le clitoris était blanc comme un cierge; puis le sang revenait et il devint rouge écarlate. Il était en érection comme un pénis miniature. Marlyse se força à lécher la vulve offerte aussi vite qu'elle le pût. Elle
    n'avait qu'une idée en tête: en finir le plus rapidement possible, ne plus être frappé, pouvoir se rouler en boule et se retirer du monde, se reposer, reposer, reposer...
    "Mmmmmmm!" un nouveau coup sur le clitoris. Marlyse se crispa, attendant la douleur aveuglante qui viendrait. Mais cette fois-ci elle ne vint pas; Marlyse ressentit une chaleur agréable dans l'entrejambes. Au fait, cette chaleur y avait été depuis le début de son "traitement", mais la douleur l'avait toujours masquée. Maintenant, après la douleur inhumaine provoqué par le
    clitoris maltraité, cette chaleur se fit à nouveau sentir. Elle redoubla son ardeur à lécher le sexe rasé, mordillant les lèvres, exacerbant le bouton de chair, puis tournant des cercles dans l'ouverture du vagin. La directrice dut
    faire un effort surhumain pour rester en place. Cette adolescente était sublime.
    Les deux femmes avaient remarqué le changement dans les plaintes de Marlyse et sur un signe de la directrice, Madame Louise prit un appareil de massage, le brancha et le mit prudemment entre les lèvres du sexe de Marlyse. L'effet fut foudroyant: la jeune fille se mit à balancer de hanches, se frottant à la tête de l'appareil.
    A travers l'anneau que Marlyse portait dans l'anus Madame Louise vit les parois sensibles du rectum se crisper. Sans bouger l'appareil de massage elle avança la main gauche et d'un mouvement coulant l'enfonça jusqu'au poignet dans le vagin de l'adolescente. Là, du bout des doigts elle sentit le col de l'utérus et se mit à le tripoter, envoyant des ondes de plaisir dans le
    bas-ventre de Marlyse.
    Au moment où la directrice serrait les cuisses en plein orgasme, manquant d'étouffer la jeune fille, Marlyse fut prise elle aussi d'un terrible orgasme.
    Un voile noir passa devant ses yeux... Il va de soi que le reste de l'année scolaire Marlyse fût une éléve-modèle...

    - fin de l'épisode -


    Copyright: © Charlène O. (juin 2000)

    Mac Pyridine Company story-14

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