• Denise vient de nommer Martine et Nathalie à la direction de L'europe centrale, il faut dire que ses deux éléves avaient déjà étés ses complices à l'institut Ospif qui formaient les naviguants de la Compagnie en cinq ans.
    Ici l'histoire de Sophie Michaud aujourd'hui capitaine du TIME BANDIT à Homer, en cinquième, c'est à dire lors de sa première année à l'école de Anania Mac Pyridine, elle fumait ce qui était interdit, le père d'Anania, George Borniol, avait presque été tué par ce poison.
    Vous trouverez plus bas un portrait de Martine et Nathalie.
    Nous présenterons Sophie et son navire un peu plus tard, lorsque Nicole aura fini de rénover la flotte.

    Collection "La Directrice"

     "Défense de fumer."

    D'une voix distraite j'avais répondu "Entrez!".
    Trois élèves vinrent se mettre devant mon bureau. La jeune fille au centre s'appelait Sophie Michaud; les deux qui l'encadraient faisaient partie de ce que j'appelle "mes petits soldats", des élèves de dernière année qui m'étaient tout dévouées.
    Toutes les trois portaient l'uniforme de l'Institut Ospif: blouse blanche, cardigan bleu, jupe plissée grise et des bas de même couleur jusqu'en dessous du genou.
    "Oui?"
    "Madame la directrice, Sophie était en train de fumer dans les toilettes..."
    Sophie protesta:
    "Ce n'est pas vrai, Madame la directrice, c'était pas moi, ça venait d'une autre cabine!"
    Je me levai, fit le tour de mon bureau et vint sentir son haleine. Elle essayait d'abord de ne plus respirer, puis de respirer par petites goulées. Je la regardais dans les yeux, impassible.
    "Nom, prénom, classe..." je lui demandais, bien que je connaissais la réponse.
    Elle essaya de tourner la tête avant de répondre mais je lui pris le menton et tourna son visage vers le mien. "Alors?"
    Elle murmura entre ses dents "Michaud - Sophie - 5ième C..."
    Même une personne enrhumée aurait senti qu'elle venait de fumer une cigarette!
    J'enfonçai le clou encore un peu plus:
    "Et Sophie Michaud de la 5ième n'a pas fumé?"
    Elle devint pivoine et baissa le regard. Je retourna m'asseoir à mon bureau.
    "Pourquoi avez-vous menti?"
    Sophie ne broncha pas, le regard vers le sol, ses longs cheveux foncés formant un rideau de part et d'autre de son visage.
    J'attendis quelques secondes avant de continuer:
    "Vous savez que fumer est interdit dans cette école. Vous serez punie. Mais ce qui est bien pire, c'est de m'avoir menti. Cela vous le regretterez jusqu'au jour où vous quitterez cette école!"
    Aussitôt j'ordonnai à mes petits soldats:
    "Déculottez-la!"
    Martine, la petite brune costaud, passa derrière Sophie et lui prit les mains derrière le dos, tandis que sa copine Nathalie s'agenouilla devant l'adolescente. Regardant Sophie dans les yeux, un sourire moqueur aux lèvres,
    Nathalie fit glisser ses mains sur l'extérieur des genoux nus de la jeune fille. Sophie était trop sidérée pour réagir quand les mains disparaissaient sous la jupe plissée, mais quand elle sentit Nathalie agripper sa culotte et
    se mettre à tirer dessus...
    "Madame, vous ne pouvez pas lui laisser faire ça! Madame! C'est pas permis, m'enfin! Mes parents vont porter plainte!"
    Je fis comme si je n'avais rien entendu et m'adressai à nouveau aux autres:
    "Mettez-la à quatre pattes sur la table de conférence, je vais la punir immédiatement, il faut que la punition suive de près l'offense!"
    Nathalie fit glisser la culotte blanche le long des jambes de Sophie, malgré que celle-ci pressait ses genoux l'un contre l'autre pour l'en empêcher. Puis d'une bourrade, elle désarçonna la jeune fille et lui enleva sa culotte. Elle
    me la tendit.
    Malgré ses protestations Sophie fut entraînée vers la grande table en bois de teck que j'employais quand je réunissais quelques professeurs pour un meeting.
    En moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, l'adolescente se retrouva sur la table, s'appuyant sur ses mains et ses genoux, la panique dans le yeux.
    De mon armoire toujours fermée à clef je sortis quelques lanières de cuir et des menottes de cuir tressé. Sophie fut rapidement attachée dans la position où elle se trouvait, les genoux largement écartés.
    Pour l'humilier je disposais sa culotte devant elle sur la table, le fond légèrement souillé bien en vue.
    "Pas très propre, n'est-ce pas? Si tu veux je te la mets sur la tête, ton gribouillis de femelle bien en vue, et je te renvoie comme ça en classe, qu'en dis-tu?"
    Sophie ne répondit pas. Vaincue, elle venait d'accepter sa punition...
    Pendant que je cherchais une cravache dans mon armoire, je m'adressai à Martine:
    "Mettez une serviette imperméable entre ses genoux, je crains qu'elle ne se mette à uriner. Et regardez un peu si elle mouille."
    Martine déplia la serviette et la mit sous le ventre de Sophie. C'était une grande serviette de cellulose absorbant, doublé d'une feuille de plastique mince bleu pâle, comme on met dans les lits des personnes incontinentes.
    Du coin de l'oeil je regardais mes petits soldats opérer: elles se mirent de part et d'autre de la table, prirent l'ourlet de la jupe grise et, comme on dévoile une statue, relevèrent le tissu jusque sur le dos de Sophie, exposant les fesses blanches bien rebondies. Martine se pencha et mit sa tête entre les cuisses écartées, étudiant l'entrejambe béant.
    "Non Madame, je ne vois rien!"
    Par acquit de conscience, Nathalie alla voir aussi. De deux doigts elle écarta délicatement les lèvres déjà entrouvertes, puis confirma ce que venait de dire son amie.
    "Bon, masturbez-la alors."
    Les deux filles se mirent à caresser consciencieusement les cuisses et les fesses de Sophie, comme je leur avais appris, en évitant le sexe - si elles touchaient le sexe trop tôt, la fille se rebifferait et cela durerait beaucoup plus longtemps avant qu'elle ne laisse aller.
    Ses cuisses se couvrirent de chair de poule, ses yeux s'ouvrirent en grand et elle me dit:
    "Mais... Madame... je ne... elles... laissez-moi tranquille je vous prie!"
    Souriante, je tendis un appareil de massage médical à Nathalie. Elle le brancha et l'applique légèrement sur le sein gauche de Sophie. Malgré le cardigan gris le vibrations firent leur effet: Sophie sursauta comme si une guêpe l'avait piquée. Puis Nathalie recommença. Sophie ferma les yeux et se laissa faire, apparemment le traitement n'était pas trop désagréable...
    La tête vibrante de l'appareil se mit à tracer des cercles de plus en plus grand autour du sein de Sophie, puis lentement se dirigea vers son ventre.
    Entre-temps Nathalie avait branché un gode vibrant, blanc et lisse, et en appliqua l'embout par à coups sur l'anus de l'adolescente. Absorbée par la danse de l'appareil de massage sur son ventre, celle-ci se laissa faire, les yeux toujours fermés. Si c'était ça la punition, ce n'était pas trop grave, mis à part l'humiliation, mais heureusement il n'y avait que trois personnes qui l'auraient vue dans cette pose...
    Malgré elle, Sophie se détendit et cessa de penser, laissant son corps apprécier le traitement qu'on lui infligeait. Lorsque Nathalie força l'anneau de ses reins, c'est à peine si elle sursauta, surtout que Martine venait d'atteindre son bas-ventre avec son outil diabolique.
    Je regardais faire mes petits soldats pendant quelques minutes, puis, quand Sophie se mit à haleter - Martine appliquait alors très légèrement l'appareil de massage sur les grandes lèvres de son sexe - je jetais un coup d'oeil entre ses jambes, en dessous du gode que Nathalie fit coulisser avec une lenteur calculée dans le rectum de Sophie. Les sécrétions de la jeune fille étaient maintenant abondantes et quelques gouttes avaient déjà atterri sur la serviette imperméable qui protégeait la table entre ses genoux écartés.
    Il était temps de commencer la punition...
    Je fis signe à Nathalie et celle-ci prit un butt plug, un gode spécialement conçu pour l'anus: sa forme conique fait qu'on ne peut pas l'expulser par la force des muscles du rectum.
    Je lui fis signe de continuer. Elle poussa une dernière fois le gode blanc dans le conduit étroit, le plus loin qu'elle put, puis le ressortit. L'anus resta ouvert quelques secondes, assez pour que Nathalie y enfonce son butt plug lubrifié. Comme celui-ci était beaucoup plus gros, Sophie cria de douleur, le sphincter brutalement étiré. D'un coup sec Nathalie enfonça
    l'objet entièrement dans le rectum. Sophie suppliait d'arrêter mais déjà Martine intensifiait ses contacts avec son appareil de massage, stimulant la sécrétion d'endomorphines; bientôt une sensation bizarre et plutôt désagréable
    avait remplacé la douleur.
    Rouge de honte Sophie bougea son bassin tantôt vers l'appareil médical, frottant sa vulve d'une façon obscène contre l'embout vibrant, tantôt vers le gode anal, essayant de s'empaler dessus.
    Nathalie activait la petite pompe de caoutchouc et la bulbe du butt plug se gonfla dans le rectum de l'adolescente. Sophie eut l'impression qu'elle devait très fort aller à la toilette et fit tout ce qu'elle put pour se retenir. Mais quand Nathalie pompa encore quelques fois, la pression contre la paroi anale devint si forte que Sophie ne put s'empêcher de relâcher ses muscles; au lieu de sentir le mouvement bien connu d'évacuation, la pression augmenta dans son rectum: le rebords du butt plug, gonflé jusqu'à avoir doublé de volume, empêchait l'éjection.
    C'est ce moment que je choisis pour abattre la cravache une première fois. Au bord de l'orgasme, tiraillé entre la crispation de ses muscles intimes pour mieux sentir le vibromasseur et la relaxation de ses muscles fessiers pour
    moins sentir l'énorme butt plug, Sophie eut un violent sursaut quand la morsure de la cravache dépassa de loin l'anesthésie de ses endomorphines. La cravache dessina une longue ligne rouge en travers des fesses blanches.
    Martine applique l'appareil de massage directement sur le clitoris de la jeune fille qui se mit à haleter comme un coureur de fond.
    Le deuxième coup de cravache dessina une ligne parallèle à la première. Son cri fut plus de frustration que de douleur: le choc l'avait écartée de l'embout vibrant de l'appareil de massage. Elle bascula son bassin en avant, jusqu'à ce qu'elle sentit à nouveau les vibrations contre son sexe.
    Nathalie actionna la pompe à nouveau, au risque de déchirer l'anneau du sphincter. Martine et moi travaillaient en parfaite synchronisation: elle excitait Sophie jusqu'à ce que cette dernière ressente les premiers picotements du plaisir; au moment où la jeune fille retenait son souffle pour mieux arriver à l'orgasme, j'abattis la cravache de toutes mes forces sur son
    derrière, alternant les fesses et l'arrière des cuisses.
    Après le vingtième coup de cravache Sophie était comme folle. Les cheveux en lionne de trop avoir secoué sa tête, ses yeux rougis par les larmes de douleuret de frustration, elle balbutiait des mots sans suite où "s'il vous plaît, s'il vous plaît" revenait sans cesse comme une incantation païenne...
    Je pris une longue latte en plastique souple - le modèle que les informaticiens emploient pour lire des listings de logiciels - et fit signe à mes petits soldats que c'était "l'hallali", qu'on allait "l'achever".
    Martine pressa la tête vibrante sur le clitoris gorgé de sang, soulevant presque Sophie; au même moment Nathalie se mit à tirer sur le butt plug gonflé, amenant la partie la plus large - énorme - dans le muscle anal.
    Sophie se mit à crier sans discontinuer et comme je l'avais prévu laissa couler son urine. Dès que Nathalie eut retiré entièrement le butt plug, je visai soigneusement et me mis à frapper de petits coups rapprochés en plein sur la chair gonflée de sa vulve, augmentant de force à chaque coup. Son orgasme en fut prolongé pendant d'interminable secondes. Le cri de bête
    s'arrêta enfin, faute de souffle, puis elle s'effondra dans une mare d'urine, les fesses continuant à se crisper rhytmiquement comme des spasmes post-mortem.
    Il lui fallut pres d'une demi-heure pour retrouver ses esprits. Entretemps mes petits soldats lui avaient enfilé une couche-culotte: le traitement que Nathalie lui avait infligé la rendait incontinente pour quelques jours. Comme la couche était du type super, les autres filles de sa classe verraient à la grosse bosse sous la jupe, que leur copine portait une couche. En plus, la
    culotte de caoutchouc qui gardait le tout hermétiquement fermé, faisait un bruit bien caractéristique à chaque mouvement.
    En voilà une qui ne fumera plus dans les toilettes...


    - fin de l'épisode -
    _© Charlène O. (octobre 2000)

    Mac Pyridine Company story-11

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  • En cage, femboy cherche un  maître à qui confier la clef.

    Chastity-17

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  • La chatte à Marlyse, Marlyse surnomée code 4, à voir prochainement dans Mac Pyridine Story.

    Le Palais des chattes-13

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  • The universal anal gaping club-18

     

     

    Suite à l'exposition Mancunt de Marseille la direction du club a reçu une plainte signée de Alice,Antonella,Carolina,Wakyria,Maria et Kassiopea nous accusant de sexisme.

    Pour répondre à cette plainte nous avons réouvert les locaux de Marseille pour une semaine et une exposition Chattes anals de dames.

    The universal anal gaping club-18

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  • Denise vient de maintenir Patricia Borniol à la tête de L'Europe du Nord, il faut dire qu'elle avait été son élève à l'époque où elle était directrice de l'institut Ospif, des collabarateurs de la Mac Pyridine company. Patricia est par ailleurs une maniaque de la propreté, ce qui est très important dans les commerces de poissonnerie. Nous avons ici quelques notes de Denise au sujet de Patricia.

    Collection "La Directrice"

     "Patricia, la tripoteuse."


    Onze heures. Je venais de terminer ma correspondance. Comme directrice de l'Institut Ospif j'avais un secrétariat très efficace, mais il y avait certaines choses que je préférais faire moi-même. La correspondance en était une, l'administration de punitions pédagogiques en était une autre. Les jeunes filles qui s'inscrivaient dans notre Institut étaient averties dès le départ: "L'Institut Ospif se réserve le droit d'infliger des punitions corporelles s'il le trouve opportun, afin de guider l'étudiante dans la voie choisie".
    La plupart d'entre elles devant être guidées à un moment ou à un autre, j'avais développé toute une série de punitions, allant de la simple réprimande, à la séance de cravache très douloureuse. Au fil des années j'avais appris qu'un juste dosage de douleur physique et psychique était la clé du succès.
    Un derrière rouge d'une bonne fessée fait bien plus mal à l'amour-propre quand il se trouve exposé devant la classe...

    Un coup discret sur la porte de mon bureau me fit lever la tête.
    "Entrez!"
    La porte s'ouvrit et Patricia, une élève de dernière année se présenta devant mon bureau.
    Sans un mot, les yeux baissés, elle me remit une enveloppe. C'est la façon avec laquelle je communique avec certains de mes professeurs pendant les cours.
    Je lus rapidement le message provenant de Madame Surreau, professeur de Biologie. "Cette petite pimbêche se tripote pendant mon cours, veuillez la corriger." Signé "Suzanne Surreau".

    Elle n'en avait pourtant pas l'air, la petite Patricia. Avec ses long cheveux foncés encadrant son joli petit minois, il faisait plutôt penser à une petite sainte nitouche.
    "Tendez la main."
    Je lui pris la main et la renifla. Patricia rougit violemment.
    "Vous vous conduisez comme une petit salope, hein. Eh bien, on va vous aider. Enlevez vos chaussures."
    Elle s'exécuta sans broncher, la peur de ce qui allait suivre dans ses grands yeux bleus.
    "Maintenant enlevez votre culotte et mettez-la sur le bureau."
    Après une légère hésitation elle plongea les mains en dessous de sa jupe à plis et fit glisser son slip de coton blanc. Elle le froissa en une boule et le déposa sur mon bureau.
    Je lui indiquai un petit banc recouvert de cuir – il faisait partie du fauteuil et servait à supporter les jambes une fois le fauteuil incliné.
    "Couchez-vous là-dessus, sur le dos."
    "C'est bien. Maintenant avancez un peu, que votre derrière dépasse du banc." Ses pieds reposaient bien à plat sur le tapis.
    "Relevez votre jupe. Jusqu'au hanches."
    J'étais toujours assise à mon bureau, et de là j'avais une vue imprenable entre ses jambes. Je sentis une bouffe de chaleur éclater dans mon ventre.
    "Ecartez les genoux."
    En voyant le sexe rose légèrement béant de l'adolescente j'aurais donné une fortune pour pouvoir plonger la tête entre ses cuisses musclées...
    "Vous aurez dix coups de latte sur la vulve. Non, ne fermez pas les cuisses, ou j'augmente le nombre!"
    Puis me vient une idée: comme la donzelle aimait se tripoter, elle allait pouvoir se tripoter...

    Brutalement je lui demandai:
    "Mademoiselle, combien de fois masturbez-vous par semaine?"
    Patricia sursauta quand elle se réalisa la portée de ma question. Je dus la lui répéter une deuxième fois avant qu'elle ne murmure: "Six ou sept fois..."
    "Donc tous les jours?"
    Je devinais plus qu'entendais son "Oui".
    "Bien, j'apprécie votre honnêteté. Maintenant vous allez vous caresser comme quand vous êtes seule, car après votre correction je crains qu'il vous faudra quelques jours avant de pouvoir toucher à nouveau votre sexe."

    Patricia devint d'abord pâle, puis vira pivoine. Instinctivement elle avait fermé les cuisses. Alors je me levai et plaça deux tabourets devant elle: un de chaque côté. Puis je lui pris les jambes fermement, les ouvrit malgré la résistance et lui plaça les pieds sur les tabourets. Maintenant son entrejambes était exposée comme pour un examen gynécologique. Plus moyen de fermer les cuisses sans que ses pieds tombent des tabourets. Son regard me suppliait d'arrêter la punition mais je fis comme si je ne voyais pas son air paniqué.

    "Mettez votre main droite sur votre sexe.
    Caressez-vous. C'est cela. Maintenant humez vos doigts."
    Elle ferma les yeux de honte mais fit quand même ce que je lui avais ordonné. Elle n'essaya même pas de jouer la comédie et de faire comme si c'était la première fois. Sa main redescendit vers son ventre.
    J'avais pris sa culotte qui traînait sur mon bureau et le renifla. Elle ne devait pas être loin de l'aboutissement quand Madame Surreau l'avait interrompue, à sentir son sous-vêtement. J'y regardai de plus près, et comme j'avais anticipé, une large couche de sécrétion blanchâtre tapissait le fond de son slip.
    "Vous allez mettre votre majeur gauche dans votre rectum, mais mettez-y d'abord de la salive..."
    Patricia, toujours les yeux fermés, mit son doigt en bouche, puis, après une courte hésitation où ses dernières inhibitions tombèrent, elle se contorsionna légèrement pour atteindre son anus par le dos.
    Elle poussa un léger soupir, puis lentement, millimètre par millimètre, enfonça son doigt dans son rectum. C'était une vue hautement érotique et j'en profitais que l'adolescente avait les yeux fermés pour glisser une main en dessous de ma robe et de me frotter rapidement le sexe à travers ma culotte.
    L'autre main de Patricia s'était mise au travail et du bout des doigt elle titillait allègrement son clitoris, n'interrompant le mouvement circulaire que pour puiser du lubrifiant dans l'ouverture de son vagin.
    Sa respiration se fit haletante: cette fille était bien rodée aux plaisirs solitaires. Le doigt dans son anus allait et venait lentement; à chaque fois elle l'enfonçait le plus loin possible, puis le retirait entièrement pour ensuite recommencer le même manège.
    Je lui pris la main gauche et lui arracha le doigt de son rectum. Puis je lui mis le doigt légèrement brillant devant le nez. C'est comme si je lui avais injecté l'un ou l'autre dopant, car elle se mit à respirer rapidement, la bouche grande ouverte, une sorte de râle émergeant du fond de ses poumons. L'orgasme ne se ferait plus attendre longtemps.

    Je lui mis le doigt contre ses lèvres et d'elle même elle l'engouffra et se mit à le lécher en lui donnant un mouvement de va et vient comme elle avait fait dans son rectum. Sa respiration devint sifflante. Sa main droite menait un ballet effréné dans son sexe trempé. Ses poils collaient ensembles en un magma odorant. Patricia bougea son bassin avec de petite secousses, mimant un coït bestial.
    Je dus faire un effort surhumain pour me dominer, et pour me tenir prête. Je l'enjamba de façon à me trouver face à la fourche de ses cuisses, le dos vers elle. Puis son orgasme se déclencha. Elle se cabra, s'arrêta de respirer, tendit son corps en un arc de cercle, son ventre nu venant délicieusement frapper mon entrejambes. Elle retira la main de son sexe maintenant hypersensible et voulut fermer les cuisses pour mieux cuver et prolonger sa jouissance, mais je l'en empêcha et de toutes mes force j'abattit la latte de plastique souple sur sa vulve.
    L'effet de la douleur mélangé à l'orgasme fût si fort qu'elle perdit connaissance pendant quelques secondes. Puis j'abattit la latte une deuxième fois. Cette fois-ci elle se mordit la main pour ne pas crier.
    Lors du troisième coup le latte n'était pas bien à plat ce qui fait que le bord coupa douloureusement
    dans les lèvres de son sexe. Patricia se tordit de douleur et vint se coller à moi, entourant mes hanches de ses bras, frottant son visage contre mes fesses. Un instant je m'imaginais être nue, la tête de l'adolescente enfouie entre mes fesses...
    Un peu par frustration le quatrième coup visa le sexe bien à plat. Le coup était si fort que les lèvres furent blanches pendant quelques instants, tout le sang ayant été repoussé. Le clitoris pointait entre les plis de chair quand j'abattit la latte une cinquième fois. C'en était trop pour Patricia: elle se mit à uriner sans pouvoir se retenir. De puissants jets rythmiques jaillirent d'entre les lèvres malmenées. Je me mis à frapper le plus rapidement que je pus, éclaboussant son bassin chaque fois que la latte s'abattit sur le sexe d'où l'urine continuait à gicler en longs jets.
    Je lâcha la latte et plaqua ma main sur sa vulve. Je sentis sous mes doigt le liquide brûlant jaillir et le frotta sur ses fesses, sur son ventre, sur son anus. Je ne pus m'empêcher d'enfoncer un doigt dans
    son sexe. Le conduit vaginal était brûlant et serrait mon doigt comme un gant. Puis je m'aventurais entre ses fesses et trouva le renflement de son anus, trempé comme le reste. Retenant avec peine un cri de pure jouissance érotique je sentis le muscle du sphincter se relâcher pour me permettre de le pénétrer.
    Quand je regardais entre ses jambes je vis que Patricia avait recommencé de se caresser, mais plus prudemment que la première fois. L'excitation sexuelle du premier orgasme masquait encore la douleur de son sexe torturé. Une fois cette anesthésie tombée, sa vulve serait horriblement douloureuse pendant plusieurs jours. Je la laissais donc faire, me délectant du rectum palpitant autour de mon doigt.
    Puis il se passa quelque chose de totalement imprévu: comme un zombie Patricia mit la tête sous ma robe! Je dus mordre sur mes lèvres pour ne pas l'encourager de vive voix. Mais ce n'était pas nécessaire: elle n'avait pas besoin d'encouragements. Sa main gauche file aussi en dessous de ma robe et je sentis qu'elle m'arracha la culotte, la faisant glisser le long de mes jambes au plus loin qu'elle le put avec mes jambes écartées autour de son torse. Puis sa main se plaqua sur mon sexe trempé. Je crus défaillir. J'étais mouillée comme si j'avais fait pipi. Patricia, sans arrêter de se caresser de la main droite, se mit à frotter rapidement sa main gauche sur mes lèvres. Je ne masturbais jamais ainsi et cette sensation d'être caressée par quelqu'un d'autre était sublime. Je sentis mon orgasme approcher. Elle dut le sentit aussi, car je l'entendis dire "Laissez-vous aller, s'il vous plaît."
    Puis elle plaqua sa bouche sur mon anus et se mit à titiller le muscle hypersensible du bout de sa langue. Je partis comme une fusée. Je me sentis devenir légère - je n'étais plus qu'un sexe en train de jouir. Je goûtais mon sang, ayant mordu sur ma lèvre pour ne pas crier. Puis, sentant que Patricia accélérait, je relâchais mes muscles et senti bientôt l'urine chaude couler le long de mes jambes. Comme je l'avais fait chez elle, l'adolescente se mit à disperser le liquide brûlant sur ma vulve et sur l'intérieur de mes cuisses. Je continuais à jouir si longtemps que j'urinais; elle jouissait aussi...

    Il va de soi que depuis cette mémorable "correction", j'ai dû punir Patricia régulièrement...


    Charlène O.
    Ps :Ceci est une archive de la Mac Pyridine company, mais elle n'en est pas l'auteur qui est identifié ci-dessus.

    Mac Pyridine Company story-10

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